L’État va financer les formations des salariés en chômage partiel

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Toutes les formations » réalisées sur le temps de travail des professionnels en chômage partiel seront prises en charge par l’Etat, selon le ministère du Travail.

Vérifiez bien les conditions car il y a toujours moyen que vous ne soyez pas éligible

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Démission et Reconversion : Tout ce qu’il Faut Savoir  

 


Le site demission-reconversion.gouv.fr est une ressource précieuse pour les salariés souhaitant démissionner pour se reconvertir professionnellement. Il offre des informations détaillées sur les aides disponibles et les démarches à suivre. Cet article explore les principales fonctionnalités du site, les étapes clés du processus de démission-reconversion et les avantages de cette initiative.

1. Qu’est-ce que demission-reconversion.gouv.fr ?
1.1. Origine et Objectifs
Lancé par le gouvernement français, demission-reconversion.gouv.fr vise à soutenir les salariés qui souhaitent quitter leur emploi pour se lancer dans un nouveau projet professionnel. Cette initiative permet aux démissionnaires de bénéficier d’allocations chômage sous certaines conditions, facilitant ainsi leur transition vers une nouvelle carrière.

1.2. Public Cible
Le site s’adresse principalement aux salariés en CDI (Contrat à Durée Indéterminée) qui envisagent de se reconvertir professionnellement ou de créer/reprendre une entreprise. Il fournit des informations sur les critères d’éligibilité, les démarches administratives et les aides financières disponibles.

2. Les Étapes Clés du Processus de Démission-Reconversion
2.1. Préparer son Projet Professionnel
2.1.1. Identifier le Nouveau Projet
La première étape consiste à définir clairement son projet de reconversion ou de création d’entreprise. Cela peut inclure des recherches sur les secteurs d’activité, les métiers porteurs, et les formations nécessaires pour acquérir les compétences requises.

2.1.2. Bilan de Compétences
Le site recommande de réaliser un bilan de compétences pour évaluer ses aptitudes et identifier les domaines où une formation complémentaire pourrait être nécessaire. Cette étape est cruciale pour assurer la viabilité du nouveau projet professionnel.

2.2. Demande d’Attestation de Projet
2.2.1. Consultation avec un CEP
Avant de démissionner, le salarié doit consulter un Conseiller en Évolution Professionnelle (CEP). Ce conseiller aide à valider le projet de reconversion et à établir un plan d’action détaillé.

2.2.2. Dépôt de la Demande
Une fois le projet validé, le salarié peut déposer une demande d’attestation auprès de la Commission Paritaire Interprofessionnelle Régionale (CPIR). Cette attestation est nécessaire pour bénéficier des allocations chômage après la démission.

2.3. Démission et Inscription à Pôle Emploi
2.3.1. Notification de Démission
Après avoir obtenu l’attestation de la CPIR, le salarié peut notifier son employeur de sa démission. Il est important de respecter les préavis légaux pour éviter toute complication juridique.

2.3.2. Inscription à Pôle Emploi
Suite à la démission, le salarié doit s’inscrire à Pôle Emploi pour bénéficier des allocations chômage. L’attestation de projet validée par la CPIR doit être présentée lors de l’inscription.

3. Avantages et Opportunités de la Démission-Reconversion
3.1. Sécurité Financière
Le principal avantage de cette initiative est la possibilité de bénéficier d’allocations chômage pendant la période de reconversion. Cela offre une sécurité financière aux démissionnaires, leur permettant de se concentrer pleinement sur leur nouveau projet professionnel.

3.2. Accès à des Formations Qualifiantes
Les salariés en reconversion peuvent accéder à des formations financées par les fonds publics ou par des dispositifs comme le Compte Personnel de Formation (CPF). Ces formations permettent d’acquérir les compétences nécessaires pour réussir dans le nouveau métier choisi.

3.3. Accompagnement Personnalisé
Le recours à un Conseiller en Évolution Professionnelle (CEP) garantit un accompagnement personnalisé tout au long du processus de reconversion. Le CEP aide à définir le projet, à choisir les formations appropriées et à naviguer dans les démarches administratives.

4. Informations Pratiques et Ressources
4.1. Documentation et Guides
Le site demission-reconversion.gouv.fr propose une variété de documents et de guides pratiques pour aider les salariés à comprendre les étapes du processus. Ces ressources incluent des FAQ, des fiches techniques et des témoignages de personnes ayant réussi leur reconversion.

4.2. Outils en Ligne
Des outils interactifs sont disponibles sur le site pour faciliter la préparation du projet de reconversion. Par exemple, un simulateur de droits permet d’estimer le montant des allocations chômage auxquelles le salarié peut prétendre.

4.3. Contacts et Assistance
Pour toute question ou assistance supplémentaire, le site fournit des coordonnées de contacts régionaux et des services d’aide en ligne. Les utilisateurs peuvent également trouver des informations sur les bureaux locaux de Pôle Emploi et des centres de conseils en évolution professionnelle.

 
Le site demission-reconversion.gouv.fr est une ressource essentielle pour les salariés français souhaitant se reconvertir professionnellement. En offrant des informations claires, des outils pratiques et un accompagnement personnalisé, il facilite grandement le processus de transition vers une nouvelle carrière. Si vous envisagez de démissionner pour vous reconvertir, explorez les nombreuses ressources disponibles sur ce site pour maximiser vos chances de succès.

MOTS CLÉS 

 
  1. Démission reconversion
  2. demission-reconversion.gouv.fr
  3. Formation professionnelle continue
  4. Allocation chômage démission
  5. Reconversion professionnelle
  6. Conseiller en Évolution Professionnelle
  7. Projet de reconversion
  8. Commission Paritaire Interprofessionnelle Régionale
  9. Bilan de compétences
  10. Inscription Pôle Emploi
  11. Financement formation
  12. Sécurité financière reconversion
  13. Accompagnement personnalisé
  14. Transition professionnelle
  15. Outils en ligne reconversion
 

Si vous voulez suivre les travaux des experts compétences vous pouvez rejoindre le blog de la formation et vous inscrire à la Newsletter. Les experts compétences accompagnent tous les projets à forte composante numérique autour du Marketing, du Management et de la Formation. Ceci pour des organismes de formation comme pour des clients directs. Pour les contacter, laissez leur un message

 

SOURCES

 
  1. demission-reconversion.gouv.fr – Pour des informations détaillées et des ressources sur la démission et la reconversion professionnelle.

  2. Pôle Emploi – Pour des informations sur les allocations chômage et les services d’aide à la reconversion.

  3. Ministère du Travail – Pour des directives officielles et des informations sur les politiques de reconversion professionnelle.

  4. Centre Inffo – Pour des articles et des analyses sur la formation professionnelle continue et la reconversion.

  5. France Compétences – Pour des informations sur les certifications et les standards de qualité des formations.

 
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Au-delà des données : l’intelligence artificielle

Au-delà des données : l’intelligence artificielle

https://www.actuia.com/contribution/laurent-cervoni/intelligence-artificielle-au-dela-des-donnees/

Les métiers et le marché de l’emploi se transforment notamment en fonction des nouvelles technologies. Il y aurait même 85% des emplois de 2030 qui ne seraient pas connus aujourd’hui. Ainsi, l’éclairage public a-t-il créé les fallotiers (allumeurs de réverbère) qui ont disparu avec l’électricité (qui a donc vu naître les électriciens). Aujourd’hui, les métiers en vogue en Intelligence Artificielle, sont ceux des Data Scientists, Ingénieurs ou Analystes, indissociables de la gestion des données, du Machine Learning et du Deep Learning.

Les applications ou les outils basés sur l’Intelligence Artificielle viennent compléter le travail d’un spécialiste, proposent une approche différente à un problème posé et communiquent parfois directement avec des utilisateurs (interface vocale ou textuelle).

Si le rôle des données est sans aucun doute important dans la construction d’un tel environnement, elles ne garantissent pas seules son bon fonctionnement et son acceptation.

En effet, au cours de l’histoire de l’Intelligence Artificielle, d’autres approches ont démontré l’intérêt de faire intervenir des profils de métiers différents.

Née à l’époque des Knowledge Base Systems (Systèmes à Base de connaissance), autour des année 80-90, la fonction des “cogniticiens“, ingénieurs de la connaissance, consistait à « comprendre un métier » pour l’enseigner à la machine.

La puissance de calcul et les capacités de stockage ne permettaient pas un apprentissage automatique à partir de données même si celles-ci pouvaient parfois être disponibles en quantité et qualité satisfaisantes.

Le cœur même des démarches d’IA était donc de tenter de comprendre au mieux le domaine à modéliser et de le décrire sous forme de règles, de faits (les données) et de métaconnaissances.

Cette approche reste nécessaire mais elle a, bien évidemment, évolué.

La nouvelle star de l’IA est le Data Scientist. La technicité des algorithmes, le nombre croissant de techniques et la maîtrise de leur fonctionnement nécessitent, en effet, un réel savoir-faire pour les identifier, comparer leurs performances et les adapter à une problématique spécifique.

Spécialiste de l’analyse des données, de leur mise en bonne forme et du choix des algorithmes, il/elle est donc indispensable à tout projet de Machine Learning ou Deep Learning

Cependant, il serait illusoire de penser que les données contiennent à elles seules tout le savoir-faire d’un domaine. Dans de nombreux cas, les données ne peuvent s’interpréter ou s’analyser qu’avec l’appui des experts du domaine à modéliser.

Un jeu de données n’a, en général, de sens qu’avec la maîtrise du contexte métier dans lequel il doit être exploité.

Par exemple, dans le cas d’un système d’aide à l’octroi de crédit, le Data Scientist s’appuie nécessairement sur un analyste de « risque crédit » pour déterminer les seuils pertinents de décision mais aussi l’impact et l’importance de certaines variables pour la décision et la performance du modèle à concevoir.

Dans le domaine médical, pour certaines pathologies, si l’IA est très performante dans la phase de diagnostic, l’intervention d’un médecin reste indispensable à l’interprétation des résultats et pour le suivi thérapeutique).

Ainsi, la vérification de la pertinence d’un apprentissage s’appuie sur une expertise métier. Et pour les situations d’apprentissage non supervisé, l’analyse des résultats et l’exploitation des classes obtenues est nécessairement le fruit d’une expertise.

Il se retrouve ainsi comme l’était le cogniticien des systèmes à Base de connaissance, à devoir recueillir et comprendre le savoir-faire des spécialistes concernés.

En outre, la « personnification » d’un outil d’Intelligence Artificielle requiert aussi un savoir-faire qui s’incarne dans un nouveau métier parfois appelé « ergoteller ». Particulièrement indispensable dans le cas d’un « robot conversationnel ou interactif », ce profil intervient pour donner de l’émotion à l’IA.

Enfin, les choix de conception d’une plateforme d’intelligence artificielle exigent aussi une dimension éthique adressée par un « Chief Ethic Officer » ou Ethicien.

Ainsi, la construction d’un projet d’IA, dans un domaine métier donné, passe par l’association du savoir-faire du Data Scientist, des compétences des experts métiers, d’un « cogniticien » pour faciliter l’expression de l’expertise et d’un designer pour satisfaire les attentes des utilisateurs.

Cette capacité à maîtriser les algorithmes, la gestion des données et la faculté à s’immerger dans une expertise métier pourrait faire naître une nouvelle espèce hybride : le « Data Cogniticien »…

Lire la suite sur: https://www.actuia.com/contribution/laurent-cervoni/intelligence-artificielle-au-dela-des-donnees/

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Qu’est-ce que l’AFEST ? à l’usage des OF

Qu’est-ce que l’AFEST ? à l’usage des OF







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Qu’est-ce que l’AFEST ?

L’AFEST FAUT-IL Y ALLER OU PAS ?

L’AFEST titille les organismes de formation aujourd’hui. Faut-il ou ne faut-il pas y aller ? L’AFEST permettra-t-elle de développer de nouveaux marchés ou au contraire va-t-elle mettre en danger leur  position concurrentielle en donnant le statut d’OF aux entreprises ? Bref, l’AFEST nouvel eldorado ou innovation pédagogique de tous les dangers ?
 
La première chose qu’il faut comprendre c’est que l’AFEST n’est pas un dispositif de financement mais plutôt une « innovation pédagogique » c’est-à-dire quelque chose comme « des services de développement de compétences au sein des entreprises » que les OF peuvent proposés. Est-ce une opportunité pour développer le CA ?  pas si sûr ! Mais les OF ont-ils le choix ? L’Afest est une réponse à des besoins de formation toujours plus personnalisés. L’Afest ne remplacera ni le présentiel, ni le difital, mais sa mise en œuvre sera probablement importante dans les plans de développement des compétences des entreprises. Les OF iront forcément, plus ou moins vite, avec plus ou moins d’entrain, mais au final tous les organismes de formation devront y passer, comme ils doivent s’adapter plus ou moins vite à la numérisation de l’offre de formation, aux classes virtuelles, aux mooc etc.
 

COMMENT L’AFEST SERA-T-ELLE FINANCEE ?

L’AFEST n’est pas un dispositif, mais une simple modalité. Ce qui signifie que pour avoir une prise en charge de la part d’un OPCO, de Pôle Emploi ou d’une Région, il faudra inscrire l’AFEST dans le cadre de dispositifs de formation déjà existants.

Le marché de la formation encadrée
Dans les formations encadrées il y a :

  1. Le plan de formation des entreprises de moins de 50 salariés est particulièrement bien adapté à l’AFEST. Malheureusement, aujourd’hui les OPCO sont beaucoup trop occupés avec leurs nouvelles missions qu’ils n’ont pas encore prévus des financements, mais certains lancent des appels à référencement d’organismes capables de faire de l’AFEST, alors qui sait ? dans quelques temps, il sera bon d’être référencé
  2. Le contrat de professionnalisation peutIntégrer de l’Afest. L’organisme de formation devient pilote de dispositifs d’AFEST relayés par des accompagnateurs ou formateurs interne. L’avantage pour l’OF externe est de permettre une formation plus flexible dans son organisation et plus proche des besoins de l’entreprise. Ce n’est pas forcément les opportunités financières, qu’il faut viser à travers des contrats de professionnalisation en AFEST, mais davantage les deux qualités distinctives de l’AFEST : flexibilité et proximité. AFEST et contrats de pro semblent faire bonne ménage !

Afest ou pas les financements ne seront pas plus importants qu’il y ait ou non de l’Afest. Cependant, l’Afest peut être un élément marketing déterminant.
 

Le marché de la formation « obligation sociale »
Les entreprises de plus de 50 salariés sont contraintes de réaliser au moins une formation non obligatoire tous les 6 ans sous peine de devoir payer une pénalité de 3.000 euros par salarié (Nous arrivons au mois de mars à la limite des 6 ans depuis la promulgation de la loi).
L’AFEST est indirectement un moyen de répondre à cette exigence. En organisant des formations non obligatoires en AFEST, l’entreprise peut répondre plus facilement à son exigence sociale qu’à travers une formation présentielle, et souvent plus efficacement qu’une formation à distance.
Les OF externes ont un rôle à jouer la fois pour des raisons de sécurité juridique (trace d’une convention de formation, respect des exigences liés au Référentiel National Qualité) et d’efficacité pédagogique (pilotage des accompagnateurs AFEST internes par des ingénieurs en formation professionnels),
Pour les très grandes entreprises, l’organisme externe sera le plus souvent, en réalité, interne puisque les grands groupes ont leur propre organisme de formation interne. Pour les belles PME et ETI, il est probable que la solution d’organismes externes sera la plus simple. Ce qui devrait ouvrir  un nouveau marché ou plus exactement, faire évoluer, le marché classique de l’intra et inter-entreprise pour partie en AFEST.
 
Le marché « libre » de la formation
Certaines entreprises ont compris que la formation ne représente ni une contrainte légale, ni des opportunités financières, mais tout simplement un moyen d’améliorer substantiellement leurs performances.
Maîtrisées les nouvelles approches pédagogiques centrées sur l’analyse du travail et l’analyse réflexive, c’est repenser de façon pragmatique son modèle de management de la formation. Nombreuses sont les grandes entreprises qui y songent sérieusement. Les organismes de formation qui maîtrisent ces techniques auront les moyens de répondre à ce marché émergeant.
 

 

COMMENT MAITRISER L’AFEST ?

L’AFEST est avant tout une action de formation. Elle est donc formelle et un parcours pédagogique définie au démarrage en est la preuve. Elle bénéficie d’un encadrement pédagogique et doit être évaluée et tracée. Sa seule particularité in fine est d’avoir comme matériau pédagogique les situations de travail et de proposer une nouvelle approche pédagogique : l’analyse réflexive.
 
6 point à maîtriser pour mettre l’AFEST en place :

  1. Faire l’analyse de l’activité de travail
  2. Créer un parcours pédagogique à finalité professionnelle
  3. Désigner un formateur
  4. Mettre en place des phases réflectives
  5. Evaluer les acquis
  6. Collecter les preuves de réalisation

 
 

EN CONCLUSION !

L’Afest va probablement devenir une méthode que tout organisme de formation devra maîtriser et proposer à ses clients ou aux financeurs, que ce soit dans les appels à projets dans les outils marketing, dans les négociations et distillée peu à peu dans les programmes de formation comme il sera nécessaire de faire du blended learning, de plus en plus souvent.


 
 

 
 

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