« Critiques de l’école numérique »

L’ouvrage collectif Critiques de l’école numérique est un pavé de 400 pages dans « la mare de l’engouement pour l’éducation 2.0 ».

Plus de 20 professionnels y témoignent et analysent les problèmes de plus en plus importants que « le tout numérique » génère dans l’apprentissage, l’enseignement et les relations éducatives, de la petite enfance à l’université. Entretien avec Christophe Cailleaux, professeur d’histoire-géographie Critiques de l’école numérique Le numérique doit-il être au cœur de l’éveil des enfants, des apprentissages, du parcours éducatif ? L’ouvrage collectif Critiques de l’école numérique (Editions l’Échapée) est une première réponse — critique — à ces questionnements, très peu abordés, tant les technologies de l’information sont désormais déclarées incontournables dans tous les domaines. Les modalités d’apprentissages, la relation éducative, sociale, ont été en réalité transformées par ces outils qui se sont glissés un peu partout. Critiques de l’école numérique traite donc, grâce aux témoignages et analyses de professionnels de la rééducation et de l’éducation, des effets, contraintes, apports ou perturbations de la « numérisation éducative ». L’analyse d’un enseignant, intitulée « Le désastre des écrans sur les enfants », ouvre la première partie de l’ouvrage :  « Enfance ». Les constats de professionnels y sont alarmants, particulièrement sur les problèmes de développements de plus en plus importants liés à la surexposition des jeunes enfants aux écrans. Cet ouvrage, par touches successives, permet de mieux envisager les effets concrets de cette « nouvelle vie numérique » sur les enfants. Et les constats des professionnels sont unanimes, tels ceux de deux orthophonistes, Elsa Job-Pigeard et Carole Vanhoutte : « Si les outils numériques peuvent se substituer à l’humain dans certains domaines en lui rendant divers services, ils ne peuvent en aucun cas servir à accompagner l’enfant et à favoriser son éveil. »

L’école : laboratoire de l’économie numérique ?

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Web 3.0 : ce que signifie cette nouvelle version d’Internet

Et voilà, le web 3.0 est là Pour ceux qui avaient loupé la version 2, voici un petit récapitulatif : Le web 1, c’est la publication de contenus sur Internet. Les sites classiques ou vitrines, comme celui de votre agent immobilier. Avec le web 2, chacun devient créateur et pas seulement lecteur. On publie, commente, connecte, … au travers des réseaux sociaux par exemple. C’est aussi l’essor des services en ligne. On réserve son billet de train, on rédige ses notes personnelles, on tient sa comptabilité, on traite ses mails. Pour permettre ce niveau d’interaction, on a ramené plein de code JavaScript dans le navigateur. Web 3.0 : ce que signifie cette nouvelle version d’Internet

Alors ce web 3, qu’est-ce que ça change concrètement ?

Le web version 3 s’appuie sur une nouvelle technologie : la block-chain. Pour faire simple, c’est un algorithme qui met de la confiance dans les échanges entre inconnus, en supposant que certains parmi eux ont des intentions malveillantes. Avec la block-chain, il n’est plus nécessaire de faire confiance à une entité centralisée (Google, Amazon, Twitter, Crédit Agricole, …) pour utiliser des services en ligne. Le web 3, c’est la décentralisation. Et c’est aussi la prise de conscience de la valeur des données digitales. Elles deviennent des actifs numériques dont on jouit librement du droit de propriété. Avec le web 3, aucune entreprise ne détient exclusivement les données de ses utilisateurs. Parce que les données sont dans la block-chain.
Web 1 : les entreprises créent des données au profit des entreprises
Web 2 : les gens créent des données au profit des entreprises
Web 3 :les gens créent des données au profit des gens

Exemple : un journal d’informations en ligne

LIRE LA SUITE… Web 3.0 : L’avenir de l’Internet L’Internet, depuis sa création, a connu plusieurs versions, chacune apportant de nouveaux éléments et fonctionnalités. Après le Web 2.0, une nouvelle version de l’Internet est sur le point d’émerger : le Web 3.0. Cette nouvelle version apporte une évolution majeure dans le monde de la technologie et de l’Internet. Définition du Web 3.0 Le Web 3.0, également connu sous le nom de « la semantic web », est une évolution du Web 2.0 qui met l’accent sur la séparation des informations et des fonctionnalités. Il s’agit d’un concept qui vise à rendre l’Internet plus intelligente et plus automatisée, en utilisant des technologies comme l’IA et l’apprentissage automatique. Les caractéristiques du Web 3.0 Le Web 3.0 présente de nombreuses caractéristiques distinctives qui le distinguent du Web 2.0. Voici quelques-unes de ces caractéristiques :
  • Intelligence artificielle (IA) : Le Web 3.0 utilise l’IA pour améliorer l’expérience utilisateur. Les systèmes d’IA peuvent comprendre et répondre aux demandes des utilisateurs de manière plus efficace.
  • Apprentissage automatique : Le Web 3.0 utilise l’apprentissage automatique pour améliorer la personnalisation de l’expérience utilisateur. Les systèmes peuvent apprendre de l’utilisation de l’utilisateur pour fournir des suggestions personnalisées.
  • Interconnexion des données : Le Web 3.0 favorise l’interconnexion des données, ce qui permet aux utilisateurs de naviguer plus facilement entre différents types de données.
  • Sécurité : Le Web 3.0 met l’accent sur la sécurité des données. Les systèmes de sécurité sont renforcés pour protéger les utilisateurs contre les attaques en ligne.
Avantages du Web 3.0 Le Web 3.0 présente de nombreux avantages pour les utilisateurs et les entreprises. Voici quelques-uns de ces avantages :
  • Personnalisation : Le Web 3.0 offre une personnalisation de l’expérience utilisateur qui est plus avancée que celle du Web 2.0. Les systèmes peuvent apprendre de l’utilisation de l’utilisateur pour fournir des suggestions personnalisées.
  • Efficacité : Le Web 3.0 utilise des technologies avancées pour améliorer l’efficacité de l’Internet. Les systèmes d’IA peuvent comprendre et répondre aux demandes des utilisateurs de manière plus efficace.
  • Sécurité : Le Web 3.0 met l’accent sur la sécurité des données. Les systèmes de sécurité sont renforcés pour protéger les utilisateurs contre les attaques en ligne.
Conclusion Le Web 3.0 est une évolution majeure de l’Internet qui apporte de nombreuses améliorations. Il s’agit d’une nouvelle ère de l’Internet qui promet une expérience utilisateur plus personnalisée, plus efficace et plus sécurisée. En fin de compte, le Web 3.0 est une évolution qui peut changer la façon dont nous utilisons l’Internet.

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SIREN, SIRET, APE… tout savoir sur l’identification des entreprises

Toute entreprise qui débute son activité doit disposer de plusieurs numéros d’identification. Mais à quoi correspondent ces numéros ? Quelle est leur utilité ? Et comment les récupérer ? On vous explique la marche à suivre.

SIREN, SIRET, APE… tout savoir sur l’identification des entreprises

Les numéros SIREN et SIRET : l’identification de l’entreprise

Le numéro SIREN (pour « système d’identification du répertoire des entreprises ») est le numéro unique d’identification de chaque entreprise. C’est ce numéro qui permet d’identifier chaque entreprise auprès des administrations.

Le numéro SIRET (pour « système d’identification du répertoire des établissements ») permet lui d’identifier chaque établissement qui compose une entreprise. Il y a donc autant de n° SIRET que d’établissement dans l’entreprise. Il est composé de 14 chiffres : les 9 chiffres du numéro SIREN + les 5 chiffres du NIC (numéro interne de classement propre à chaque établissement).

Les numéros SIREN et SIRET sont générés par l’Insee et récupérés au même moment.

Le code APE : l’identification de l’activité principale de l’entreprise

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Lorsqu’on crée ou reprend une entreprise, on doit lui attribuer des identifiants qui permettent de la reconnaître et de la distinguer des autres. Ces identifiants sont le SIREN, le SIRET et le code APE. Mais à quoi correspondent-ils exactement et comment les obtenir ? Voici tout ce qu’il faut savoir sur l’identification des entreprises

 

Qu’est-ce que le SIREN ?

Le SIREN (Système d’Identification du Répertoire des ENtreprises) est un numéro à 9 chiffres qui identifie de façon unique chaque entreprise en France. Il est attribué par l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques) lors de l’immatriculation de l’entreprise au répertoire Sirene. Le SIREN est invariable et ne change pas en cas de modification de la situation juridique, fiscale ou géographique de l’entreprise. Il figure sur tous les documents officiels de l’entreprise, tels que les factures, les contrats ou les déclarations sociales.

 

Qu’est-ce que le SIRET ?

Le SIRET (Système d’Identification du Répertoire des ETablissements) est un numéro à 14 chiffres qui identifie chaque établissement de l’entreprise. Il est composé du numéro SIREN de l’entreprise suivi d’un numéro NIC (Numéro Interne de Classement) à 5 chiffres qui distingue les différents établissements de l’entreprise. Le SIRET est attribué par l’INSEE lors de la création ou de la modification d’un établissement. Il change en cas de transfert, de fermeture ou de changement d’activité de l’établissement. Il figure également sur les documents officiels de l’établissement.

 

Qu’est-ce que le code APE ?

Le code APE (Activité Principale Exercée) est un code à 5 caractères (4 chiffres et une lettre) qui indique l’activité principale de l’entreprise ou de l’établissement. Il est attribué par l’INSEE selon la nomenclature des activités françaises (NAF), qui classe les activités économiques en 732 postes. Le code APE permet de connaître le secteur d’activité de l’entreprise ou de l’établissement, ainsi que les obligations légales, fiscales ou sociales qui lui sont applicables. Il figure sur l’extrait Kbis de l’entreprise ou de l’établissement, qui est le document officiel attestant de son existence juridique.

 

Comment obtenir ces identifiants ?

Pour obtenir ces identifiants, il faut immatriculer son entreprise ou son établissement auprès du centre de formalités des entreprises (CFE) compétent, qui varie selon la forme juridique, le secteur d’activité ou le lieu d’implantation de l’entreprise. Le CFE se charge ensuite de transmettre le dossier à l’INSEE, qui attribue le SIREN, le SIRET et le code APE. Ces identifiants sont ensuite communiqués au créateur ou au repreneur d’entreprise par courrier ou par mail. Il est possible de vérifier ou de modifier ces identifiants en contactant l’INSEE ou en se rendant sur le site sirene.fr.

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Designer UI UX : qu’est-ce que le lean UX ?

Ziggourat forme depuis longtemps des concepteur designer UI UX avec diplôme d’état niveau 6, or cette discipline est toujours en mouvement. Nous évoquons aujourd’hui de Lean UX. Dans le guide développé par Kaliop  le concept de Lean UX,  est expliqué, son cycle de production et sa mise en place sur des projets digitaux. Découvrez comment le lean UX rend les produits comme un site ou une application vraiment efficaces.

nouvelle formation, nouveau diplôme

Aujourd’hui, le développement de projets digitaux est au cœur d’une controverse. En effet, il est de plus en plus commun qu’une entreprise demande une refonte complète de l’existant. Un signal fort qui montre que le projet initial a été mal calibré et implique de repartir à zéro.

En cause, les méthodes classiques de conception et de développement des projets digitaux. Pour faire face aux faiblesses de ces dernières, le Lean UX prend une ampleur de plus en plus importante.

 

À travers un livre blanc gratuit, Kaliop, société spécialiste de la transformation numérique et de l’innovation qui s’occupe notamment de la conception, du développement ou encore de la performance de l’écosytème digital des entreprises et administrations, présente le concept du Lean UX, ses avantages et sa mise en place.

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Formation développeur web web mobile, totalement financée!

Le web mobile est un sujet qui domine les métiers du digital. Cette formation Développeur web mobile vous permettra d’acquérir les compétences nécessaires au développement d’applications mobiles compatibles avec les principales plateformes mobiles du marché (iOS, Android). Seule une bonne formation permettra de maîtriser ces technologies

Concevoir, par codage informatique, une solution digitale web en définissant en amont toutes ses caractéristiques fonctionnelles et visuelles, dans le cadre d’une démarche de gestion de projet.

Les ventes de Smartphones et de Tablettes tactiles ne cessent de progresser et la nécessité de concevoir des sites web responsive et des applications mobiles, devient incontournable. Une niche d’emplois se présente : « Le marché du mobile et des tablettes a créé 800 000 emplois en Europe, […] en majorité des développeurs. » 

Ziggourat souhaite donner la possibilité à ses étudiants et stagiaires de la formation continue d’acquérir des compétences en développement mobile pour saisir des opportunités professionnelles dans ce secteur en pleine effervescence. Le web mobile est un sujet qui domine dans la sphère du digital. Ce module permet de créer une web application.

Cette formation à temps plein est destinée aux professionnels en poste ou en reconversion, mais aussi aux demandeurs d’emploi qui souhaiteraient acquérir de nouvelles compétences dans cette spécialité.

Notre pédagogie œuvre pour favoriser votre professionnalisation. Elle combine des enseignements théoriques et des cas pratiques, ainsi que des accompagnements spécifiques. Elle peut se faire en présentielle mais aussi 100% en distancielle. 

Ziggourat est à votre écoute, renseignez-vous au moins.

 

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Reconversion : Bien choisir sa formation

Qui dit reconversion professionnelle dit en général formation. Du choix de celle-ci dépendra en grande partie la réussite de votre projet. 

Mais quand on sait que la France ne compte pas moins de 60000 organismes de formation, comment s’y retrouver dans ce dédale d’offres en tout genre et surtout, s’assurer de choisir la bonne ? 

Ziggourat propose quelques astuces qui devraient vous y aider.

Envie de changer de métier, de secteur, de créer votre boîte, de gagner en responsabilité, de vous former… Bref, envie de donner un nouvel élan à votre vie professionnelle. Voici un projet d’envergure. En effet, une reconversion professionnelle est une décision qui nécessite réflexion et engagement. Avant de vous lancer à corps perdu dans la recherche d’une formation et de vous inscrire, il faudra vous pencher sérieusement sur votre projet. 

Définir son projet professionnel permet d’aborder plus sereinement les étapes nécessaires à sa construction et de mieux aborder les obstacles qui pourraient se présenter.

Avez-vous toutes les compétences requises pour exercer le nouveau métier convoité ? Devez-vous obtenir un diplôme, une certification ou suivre une formation pour développer de nouvelles compétences ? Pensez-vous créer votre propre entreprise ? 

Il est important dans vos critères de choix que le programme de formation soit réellement en adéquation avec vos besoins et les réalités métier. Opter pour des formations opérationnelles généralement plus courtes qui débouchent sur un certificat ou un titre professionnel semble donc être une excellente idée en cas de reconversion. Choisir de se lancer dans une formation certes aux contenus intéressants mais trop intellectuels et n’offrant pas de débouchés professionnels ne servira à rien.

Quels sont les secteurs, les métiers ou encore les régions qui recrutent ? Quelles sont les compétences convoitées par les recruteurs ? Autant de questions qui doivent vous guider dans votre choix. L’objectif de votre formation est bien de vous réorienter rapidement vers l’emploi souhaité et non de se trouver dans une voie sans issue où il faudra repartir à 0. La meilleure façon de s’en faire une idée est de consulter les statistiques d’insertion professionnelle de la formation ou de s’entretenir avec des anciens stagiaires qui ont suivi votre parcours.

Intéressez-vous aussi au taux de retour à l’emploi pour ceux qui ont suivi cette formation car c’est un vrai gage de qualité. 

Par exemple voici 4 formations dans des métiers qui recrute

 

La concurrence est rude sur la marché du travail et les recruteurs recherchent des candidats bien formés. Pour se démarquer, il convient de pouvoir convaincre rapidement les recruteurs potentiels. Avant de vous inscrire, assurez-vous que la formation délivre une certification ou un diplôme afin de sécuriser votre parcours professionnel et de rassurer les employeurs. Est-il reconnu par l’Etat et/ou les entreprises ? Est-ce une certification RNCP, un titre professionnel ou un diplôme universitaire ? En comparant les diplômes proposés par différents types de formations, vous disposez également de bons éléments de décision.

 

Choisir un bon centre de formation expert compétences

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Comment devenir développeur web web mobile?

Avez-vous remarqué qu’aujoud’hui, le Web est devenu incontournable. Sites web, applications mobiles, logiciels… autant d’outils qui sont indispensables à l’activité économique en générale, indispensable à la vie des citoyens, partout installés dans notre vie quotidienne. Le métier à l’origine de ce changement sociétal est le métier dedéveloppeur web et web mobile qu’il faut apprendre dès maintenant, si l’on est jeune en recherche d’une carrière ou si l’on est dans le projet d’une reconversion. Le développeur web ou la développeuse web, le concepteur développeur d’applications sont les vecteurs du développement fulgurant du web, ils sont est très recherché et ne restent pas longtemps sans travail. 

Que fait le développeur web web mobile?

Le développeur web, la développeuse web ou le Concepteur Développeur d’applications conçoivent les  sites web, les applications mobile ou des logicielles voir même se spécialisent dans le jeux vidéos afin de répondre aux demandes de développement des entreprises ou des clients qui veulent toujours plus de facilités (achat, vente, recherche d’information, téléchargement de ressources…). Avant de programmer, ils analysent les demandent et conçoivent l’architecture, l’organisation du  code et font les choix des technologies web propres aux spécificités de chaque entreprise pour lesquelles ils travaillent. Leur but est de satisfaire les besoins des utilisateurs et du client. Ils rédigent  un cahier des charges qui précise les détails nécessaires au développement et à l’écriture du code qui sont pour le web : le Html/CSS, le php, le javascript ou C# et encore Java pour les sites les plus sophistiqués.

Après la production et la mise en ligne du site web et/ou de l’application mobile, le développeur web ou la développeuse web doit faire évoluer ses réalisations en fonction des dernières technologies ou des nouveautés qui émergent de partout dans la société digitale.  Ils  sont  responsables des mises à jour tant logiciels qu’applicatives et du bon fonctionnement des sites web. Dès que des erreurs remontent, ils doivent en chercher les causes et les résoudre au plus vite pour qu’il n’y ait pas de conséquences pour les clients et le business. Depuis la diffusion rapide des mobile, ils doivent s’assurer que le sites soient responsive : c’est à dire optimisé pour tous les navigateurs web et terminaux (tablette, mobile,…). Pour exercer ce métier, il faut bien entendu être formé.

 

Les diplômes et les formations pour devenir développeur web

En formation continue ou en reconversion l’une des formations la plus réputée est  Développeur web web mobile de chez Ziggourat. Niveau 5 bac+2 en 800h théoriques et 210h pratiques, cette formation conduit directement à l’emploi tant les besoins des entreprises sont importants. Consultez et téléchargez le programmes et le plan de cours.

D’autres formations permettent de rejoindre les métiers du web ou du développement informatique

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Répartition des fonds de la formation professionnelle

1-4-2 Missions de répartition des fonds

Répartition des fonds de la formation professionnelle

L’institution France compétences a pour missions :


– de verser aux opérateurs de compétences (Opco) des fonds pour un financement complémentaire des contrats d’apprentissage et de professionnalisation et des reconversions ou promotions par alternance, au titre de la péréquation interbranches ainsi que d’assurer le financement de l’aide au permis de conduire, selon des modalités fixées par décret ;


– de verser aux Régions des fonds pour le financement des centres de formation d’apprentis (CFA) selon des modalités définies par décret en Conseil d’État, pris après concertation avec les Régions ;


– d’assurer la répartition et le versement des fonds issus des contributions dédiées au financement de la formation professionnelle en fonction des conditions des ressources allouées des effectifs et des catégories de public, dans des conditions fixées par décret :


. à la Caisse des dépôts, pour le financement du compte personnel de formation (CPF) ;
. à l’Etat, pour la formation des demandeurs d’emploi ;
. aux opérateurs de compétences selon leur champ d’intervention, pour l’aide au développement des compétences au bénéfice des entreprises de moins de 50 salariés et pour le financement de l’alternance selon des modalités fixées par décret ;
. aux Régions ;
. à l’opérateur versant l’aide au permis de conduire (l’ASP) ;
. aux opérateurs chargés de la mise en oeuvre du conseil en évolution professionnelle (CEP) ;
. aux commissions paritaires interprofessionnelles régionales (CPIR/associations ATpro) ;
. aux fonds d’assurance formation de non-salariés ;


– d’organiser et de financer le conseil en évolution professionnelle à destination de l’ensemble des actifs occupés, hors agents publics, selon des modalités fixées par décret ;


– de prendre toute mesure visant à l’équilibre du budget dont elle a la charge, notamment en révisant les recommandations relatives au niveau et aux règles de prise en charge du financement de l’alternance et du compte personnel de formation ( (voir PARAGRAPHE 1-5-4) ; l’équilibre du budget est réputé atteint lorsque les dépenses totales n’excèdent pas les recettes existantes, y compris reports à nouveau et hors emprunt bancaire ;


– de verser aux commissions paritaires interprofessionnelles régionales (CPIR/ATpro) des fonds pour le financement de projets de transition professionnelle selon des modalités fixées par décret.
Art. L6123-5 du Code du travail
Loi n° 2020-1721 du 29.12.20 (JO du 30.12.20), art. 239

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Synthèse de l’ANI, pour adapter la loi de 2018

 

1.     Encourager durablement le recours à l’alternance

2.     Professionnaliser l’utilisation du CPF et valoriser les nouvelles modalités de parcours

3.     Faire du développement des compétences des salariés un enjeu stratégique pour les entreprises

4.     Simplifier et améliorer l’efficacité du système de certification au bénéfice des utilisateurs

5.     Créer les conditions d’un pilotage éclairé de la formation professionnelle

6.     Financement : disposer de l’ensemble des moyens disponibles

7.     Poursuivre le chantier des transitions professionnelles (notamment sectorielles)

1.     Encourager durablement le recours à l’alternance

3 enjeux prioritaires pour lever les freins périphériques et renforcer la qualité :

·

Améliorer les dispositifs d’orientation vers l’apprentissage : faire connaître aux jeunes les métiers, meilleure visibilité et communication de l’offre, harmonisation des aides apprentissage et professionnalisation

·       Renforcer l’accompagnement des jeunes : renforcer l’accompagnement et former les tuteurs, informer les jeunes sur les aides, faciliter les passerelles et les voies de retour, fournir le socle minimal de compétences (CLEA et CLEA numérique)

·       Soutenir l’innovation pédagogique des CFA : rendre les dépenses d’innovation pédagogique éligibles aux dépenses libératoires des entreprises, obligation pour CFA de communiquer le nombre de placements en emploi et les types de contrats proposés à l’issue des contrats d’apprentissage

Clarifier et simplifier pour maintenir la dynamique des contrats :

·       Recentrer les objectifs des contrats et les publics

·       Simplifier et harmoniser les procédures administratives de dépôt auprès des OPCO

Travail paritaire à mener : Evaluer l’intérêt d’harmoniser les aides aux entreprises pour l’embauche des jeunes en contrat d’alternance

2.     Professionnaliser l’utilisation du CPF et valoriser les nouvelles modalités de parcours

Objectifs :

·       Recentrer le CPF vers le développement des compétences et le parcours professionnel

·       Favoriser la co-contruction et le co-investissement

·       Mettre en place une stratégie active d’accompagnement des salariés et des entreprises

·       Orienter plus systématiquement vers le CEP à partir de « Mon Compte formation »

·       Conditionner l’achat de formations hors RNCP à la validation du CEP

Les moyens :

·       Simplifier les procédures d’abondement par les entreprises : revisite de l’interface « gestion des accords collectifs, mise à disposition des entreprises du listing des certifications,…

·       Inciter les entreprises et branches à définir des politiques d’abondement par accord collectif

·       Intégrer de nouvelles modalités pédagogiques pour les parcours (VAE, AFEST, distanciel, coaching,…)

·       Garantir la traçabilité des formations et compétences notamment par l’élaboration du nouveau « passeport compétences »

Travail paritaire à mener : Lancer, avec la Caisse des Dépôts et Consignations, une expérimentation pour conditionner l’achat de formations visant à des certifications hors RNCP à la validation de l’opérateur CEP

3.     Faire du développement des compétences des salariés un enjeu stratégique pour les entreprises

Moyens pour inciter les entreprises à s’interroger sur leur stratégie de développement des compétences :

·       Faciliter le recours des entreprises à la Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels GEPP simplifiée grâce aux branches professionnelles

·       Recenser et clarifier l’ensemble des dispositifs en matière de développement des compétences

·       Elaborer un vademecum paritaire pour préciser les enjeux et outils pour approfondir le dialogue social sur le développement des compétences

·       Créer une aide / incitation fiscale pour financer les actions complémentaires des entreprises ( GEPP, diagnostic RH, versements volontaires, co-investissement, contribution conventionnelle,…)

·       Instruire au niveau paritaire la clause de dédit

Travail paritaire à mener :

·       Proposition de créer une aide (incitation fiscale,…) pour les entreprises qui engagent des dépenses de formation complémentaires

·       Publication d’un vadémécum paritaire à destination des entreprises et salariés pour préciser les enjeux et les outils concernant le développement des compétences, des qualifications, de la certification, de l’alternance et des transitions professionnelles

·       Instruire paritairement la clause de dédit-formation

4.     Simplifier et améliorer l’efficacité du système de certification au bénéfice des utilisateurs

Les mesures de simplification et de clarification du système de certification :

·       Clarifier les notions de « compétences », « Qualification » et « certification »

·       Simplifier les processus de certification et VAE

·       Renforcer l’accompagnement des individus

·       Elaborer un guide méthodologique pour les acteurs (CPNE, OPCO,…)

·       Etablir une meilleure articulation entre certifications existantes, blocs, certifications transverses, socle commun et micro-certificats

·       Simplifier le cadre juridique des certifications professionnelles pour simplifier l’enregistrement et le renouvellement

·       Elaborer un corps commun de méthode et fonctionnement pour les 11 CPC et autres instances de l’enseignement supérieur

Travail paritaire à mener :

·       Clarifier les notions de « compétences », « qualifications » et « certification »

·       Simplifier les processus de certification et de VAE

·       Elaborer un guide méthodologique pour les acteurs en particulier les CPNE

5.     Créer les conditions d’un pilotage éclairé de la formation professionnelle

Les objectifs :

·        Recueillir et traiter des données en vue d’une exploitation utile et partagée : identification des données utiles au pilotage national et régional de la formation, partage des données entre acteurs (Observatoires prospectifs des métiers et qualifications, DARES,…)

·        Ajuster la gouvernance et renforcer l’évaluation pour responsabiliser les acteurs : renforcer le rôle des administrateurs au sein de France Compétences et leur fournir des éléments d’évaluation, stabiliser la gouvernance au niveau des CREFOP

Les adaptations à mettre en œuvre :

·       Possibilité pour les administrateurs d’effectuer des arbitrages sur tous les postes budgétaires

·       Nécessité d’une majorité de 2/3 pour valider les décisions stratégiques

·       Redistribution des voix du CA de France Compétences : 50% paritaires, 50% décideurs publics

·       Intégrer une programmation pluriannuelle du développement des compétences avec une coordination nationale et régionale

·       Mieux coordonner les acteurs : association des paritaires dans gouvernance CDC, revisite du rôle et coordination des CREFOP, création d’une commission alternance au sein de France Compétences, création d’un événement annuel de rencontre des acteurs de la formation

Travail paritaire à mener : Identifier les données utiles au pilotage national et régional de la formation professionnelle

6.     Financement : disposer de l’ensemble des moyens disponibles

Mesures de révision des mécanismes de financement :

·       Participation des structures publiques au financement de la taxe d’apprentissage

·       Suivi des déports des effectifs des jeunes formés par voie scolaire vers l’apprentissage

·       Définition d’une méthode pluriannuelle (3 ans) de révision des coûts contrat avec les branches professionnelles (suppression valeur plancher, lien entre valeur pivot et comptabilité des CFA)

·       Mise en œuvre d’une stratégie publique d’accompagnement des transitions écologiques et numériques : abondement public CPF, pérennisation et simplification du FNE, mobilisation des fonds du plan de relance

·       Revisite du PIC : financement d’actions solidaires par l’état, objectivation des dotations sur le taux de retour à l’emploi

·       Renforcement de l’aide au développement pour les entreprises de – de 50, ligne budgétaire chez France Compétences et secteur financière dans les OPCO pour accompagner les entreprises de – de 300

·       Pérennisation des co-financements entre dispositifs

Travail paritaire à mener :

·       Définir une méthode pluriannuelle (3 ans) de révision des coûts-contrats avec les branches

·       Ré envisager de manière globale le système de financement de la formation en prenant en compte l’ensemble des ressources (cartographie des financeurs)

7.     Poursuivre le chantier des transitions professionnelles (notamment sectorielles)

Un chantier pour inventorier les mesures à prendre pour favoriser les transitions professionnelles :

·       Evaluer le dispositif Transco

·       Elaborer une offre de service à destination des entreprises

·       Inciter les salariés et entreprises à s’engager dans des démarches de transition professionnelle : crédit d’impôt pour le salarié, revisite utilisation CPF, financement par biais accord d’entreprise, intégration du socle de compétences pour les niveaux 3 / 4

·       Elargissement des publics cibles et simplification des procédures pour la PROA

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