Répartition des fonds de la formation professionnelle

1-4-2 Missions de répartition des fonds

Répartition des fonds de la formation professionnelle

L’institution France compétences a pour missions :


– de verser aux opérateurs de compétences (Opco) des fonds pour un financement complémentaire des contrats d’apprentissage et de professionnalisation et des reconversions ou promotions par alternance, au titre de la péréquation interbranches ainsi que d’assurer le financement de l’aide au permis de conduire, selon des modalités fixées par décret ;


– de verser aux Régions des fonds pour le financement des centres de formation d’apprentis (CFA) selon des modalités définies par décret en Conseil d’État, pris après concertation avec les Régions ;


– d’assurer la répartition et le versement des fonds issus des contributions dédiées au financement de la formation professionnelle en fonction des conditions des ressources allouées des effectifs et des catégories de public, dans des conditions fixées par décret :


. à la Caisse des dépôts, pour le financement du compte personnel de formation (CPF) ;
. à l’Etat, pour la formation des demandeurs d’emploi ;
. aux opérateurs de compétences selon leur champ d’intervention, pour l’aide au développement des compétences au bénéfice des entreprises de moins de 50 salariés et pour le financement de l’alternance selon des modalités fixées par décret ;
. aux Régions ;
. à l’opérateur versant l’aide au permis de conduire (l’ASP) ;
. aux opérateurs chargés de la mise en oeuvre du conseil en évolution professionnelle (CEP) ;
. aux commissions paritaires interprofessionnelles régionales (CPIR/associations ATpro) ;
. aux fonds d’assurance formation de non-salariés ;


– d’organiser et de financer le conseil en évolution professionnelle à destination de l’ensemble des actifs occupés, hors agents publics, selon des modalités fixées par décret ;


– de prendre toute mesure visant à l’équilibre du budget dont elle a la charge, notamment en révisant les recommandations relatives au niveau et aux règles de prise en charge du financement de l’alternance et du compte personnel de formation ( (voir PARAGRAPHE 1-5-4) ; l’équilibre du budget est réputé atteint lorsque les dépenses totales n’excèdent pas les recettes existantes, y compris reports à nouveau et hors emprunt bancaire ;


– de verser aux commissions paritaires interprofessionnelles régionales (CPIR/ATpro) des fonds pour le financement de projets de transition professionnelle selon des modalités fixées par décret.
Art. L6123-5 du Code du travail
Loi n° 2020-1721 du 29.12.20 (JO du 30.12.20), art. 239

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Synthèse de l’ANI, pour adapter la loi de 2018

 

1.     Encourager durablement le recours à l’alternance

2.     Professionnaliser l’utilisation du CPF et valoriser les nouvelles modalités de parcours

3.     Faire du développement des compétences des salariés un enjeu stratégique pour les entreprises

4.     Simplifier et améliorer l’efficacité du système de certification au bénéfice des utilisateurs

5.     Créer les conditions d’un pilotage éclairé de la formation professionnelle

6.     Financement : disposer de l’ensemble des moyens disponibles

7.     Poursuivre le chantier des transitions professionnelles (notamment sectorielles)

1.     Encourager durablement le recours à l’alternance

3 enjeux prioritaires pour lever les freins périphériques et renforcer la qualité :

·

Améliorer les dispositifs d’orientation vers l’apprentissage : faire connaître aux jeunes les métiers, meilleure visibilité et communication de l’offre, harmonisation des aides apprentissage et professionnalisation

·       Renforcer l’accompagnement des jeunes : renforcer l’accompagnement et former les tuteurs, informer les jeunes sur les aides, faciliter les passerelles et les voies de retour, fournir le socle minimal de compétences (CLEA et CLEA numérique)

·       Soutenir l’innovation pédagogique des CFA : rendre les dépenses d’innovation pédagogique éligibles aux dépenses libératoires des entreprises, obligation pour CFA de communiquer le nombre de placements en emploi et les types de contrats proposés à l’issue des contrats d’apprentissage

Clarifier et simplifier pour maintenir la dynamique des contrats :

·       Recentrer les objectifs des contrats et les publics

·       Simplifier et harmoniser les procédures administratives de dépôt auprès des OPCO

Travail paritaire à mener : Evaluer l’intérêt d’harmoniser les aides aux entreprises pour l’embauche des jeunes en contrat d’alternance

2.     Professionnaliser l’utilisation du CPF et valoriser les nouvelles modalités de parcours

Objectifs :

·       Recentrer le CPF vers le développement des compétences et le parcours professionnel

·       Favoriser la co-contruction et le co-investissement

·       Mettre en place une stratégie active d’accompagnement des salariés et des entreprises

·       Orienter plus systématiquement vers le CEP à partir de « Mon Compte formation »

·       Conditionner l’achat de formations hors RNCP à la validation du CEP

Les moyens :

·       Simplifier les procédures d’abondement par les entreprises : revisite de l’interface « gestion des accords collectifs, mise à disposition des entreprises du listing des certifications,…

·       Inciter les entreprises et branches à définir des politiques d’abondement par accord collectif

·       Intégrer de nouvelles modalités pédagogiques pour les parcours (VAE, AFEST, distanciel, coaching,…)

·       Garantir la traçabilité des formations et compétences notamment par l’élaboration du nouveau « passeport compétences »

Travail paritaire à mener : Lancer, avec la Caisse des Dépôts et Consignations, une expérimentation pour conditionner l’achat de formations visant à des certifications hors RNCP à la validation de l’opérateur CEP

3.     Faire du développement des compétences des salariés un enjeu stratégique pour les entreprises

Moyens pour inciter les entreprises à s’interroger sur leur stratégie de développement des compétences :

·       Faciliter le recours des entreprises à la Gestion des Emplois et des Parcours Professionnels GEPP simplifiée grâce aux branches professionnelles

·       Recenser et clarifier l’ensemble des dispositifs en matière de développement des compétences

·       Elaborer un vademecum paritaire pour préciser les enjeux et outils pour approfondir le dialogue social sur le développement des compétences

·       Créer une aide / incitation fiscale pour financer les actions complémentaires des entreprises ( GEPP, diagnostic RH, versements volontaires, co-investissement, contribution conventionnelle,…)

·       Instruire au niveau paritaire la clause de dédit

Travail paritaire à mener :

·       Proposition de créer une aide (incitation fiscale,…) pour les entreprises qui engagent des dépenses de formation complémentaires

·       Publication d’un vadémécum paritaire à destination des entreprises et salariés pour préciser les enjeux et les outils concernant le développement des compétences, des qualifications, de la certification, de l’alternance et des transitions professionnelles

·       Instruire paritairement la clause de dédit-formation

4.     Simplifier et améliorer l’efficacité du système de certification au bénéfice des utilisateurs

Les mesures de simplification et de clarification du système de certification :

·       Clarifier les notions de « compétences », « Qualification » et « certification »

·       Simplifier les processus de certification et VAE

·       Renforcer l’accompagnement des individus

·       Elaborer un guide méthodologique pour les acteurs (CPNE, OPCO,…)

·       Etablir une meilleure articulation entre certifications existantes, blocs, certifications transverses, socle commun et micro-certificats

·       Simplifier le cadre juridique des certifications professionnelles pour simplifier l’enregistrement et le renouvellement

·       Elaborer un corps commun de méthode et fonctionnement pour les 11 CPC et autres instances de l’enseignement supérieur

Travail paritaire à mener :

·       Clarifier les notions de « compétences », « qualifications » et « certification »

·       Simplifier les processus de certification et de VAE

·       Elaborer un guide méthodologique pour les acteurs en particulier les CPNE

5.     Créer les conditions d’un pilotage éclairé de la formation professionnelle

Les objectifs :

·        Recueillir et traiter des données en vue d’une exploitation utile et partagée : identification des données utiles au pilotage national et régional de la formation, partage des données entre acteurs (Observatoires prospectifs des métiers et qualifications, DARES,…)

·        Ajuster la gouvernance et renforcer l’évaluation pour responsabiliser les acteurs : renforcer le rôle des administrateurs au sein de France Compétences et leur fournir des éléments d’évaluation, stabiliser la gouvernance au niveau des CREFOP

Les adaptations à mettre en œuvre :

·       Possibilité pour les administrateurs d’effectuer des arbitrages sur tous les postes budgétaires

·       Nécessité d’une majorité de 2/3 pour valider les décisions stratégiques

·       Redistribution des voix du CA de France Compétences : 50% paritaires, 50% décideurs publics

·       Intégrer une programmation pluriannuelle du développement des compétences avec une coordination nationale et régionale

·       Mieux coordonner les acteurs : association des paritaires dans gouvernance CDC, revisite du rôle et coordination des CREFOP, création d’une commission alternance au sein de France Compétences, création d’un événement annuel de rencontre des acteurs de la formation

Travail paritaire à mener : Identifier les données utiles au pilotage national et régional de la formation professionnelle

6.     Financement : disposer de l’ensemble des moyens disponibles

Mesures de révision des mécanismes de financement :

·       Participation des structures publiques au financement de la taxe d’apprentissage

·       Suivi des déports des effectifs des jeunes formés par voie scolaire vers l’apprentissage

·       Définition d’une méthode pluriannuelle (3 ans) de révision des coûts contrat avec les branches professionnelles (suppression valeur plancher, lien entre valeur pivot et comptabilité des CFA)

·       Mise en œuvre d’une stratégie publique d’accompagnement des transitions écologiques et numériques : abondement public CPF, pérennisation et simplification du FNE, mobilisation des fonds du plan de relance

·       Revisite du PIC : financement d’actions solidaires par l’état, objectivation des dotations sur le taux de retour à l’emploi

·       Renforcement de l’aide au développement pour les entreprises de – de 50, ligne budgétaire chez France Compétences et secteur financière dans les OPCO pour accompagner les entreprises de – de 300

·       Pérennisation des co-financements entre dispositifs

Travail paritaire à mener :

·       Définir une méthode pluriannuelle (3 ans) de révision des coûts-contrats avec les branches

·       Ré envisager de manière globale le système de financement de la formation en prenant en compte l’ensemble des ressources (cartographie des financeurs)

7.     Poursuivre le chantier des transitions professionnelles (notamment sectorielles)

Un chantier pour inventorier les mesures à prendre pour favoriser les transitions professionnelles :

·       Evaluer le dispositif Transco

·       Elaborer une offre de service à destination des entreprises

·       Inciter les salariés et entreprises à s’engager dans des démarches de transition professionnelle : crédit d’impôt pour le salarié, revisite utilisation CPF, financement par biais accord d’entreprise, intégration du socle de compétences pour les niveaux 3 / 4

·       Elargissement des publics cibles et simplification des procédures pour la PROA

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Reconversion : Comment la financer?

Après un an de pandémie, vous avez revisité vos priorités et vous êtes enfin prêt à quitter votre entreprise pour le métier de vos rêves. Seul difficulté : trouver des financements pour la formation.  Il existe beaucoup de dispositifs qui vous conduiront au succès car la formation a son importance. Si vous visez le digital, voici quelques pistes :

Reconversion : Comment la financer?

Informaticien, développeur, webmaster, concepteur designer UI, boulangers, agricultrices, développeuses ou encore professeurs des écoles. Les Français et Françaises sont nombreux à être en quête d’une reconversion professionnelle. Selon le 2ème baromètre réalisé par la formation et de l’emploi de Centre Inffo en janvier 2021, 20% des salariés de l’Hexagone sont ainsi déjà engagés dans un tel processus. Le phénomène est particulièrement fort chez les indépendants (30%), les 18-24 ans (34%) et les personnes en recherche d’emploi (35%). Pour toutes celles et ceux qui hésitent encore à sauter le pas et à pousser la porte d’un nouvel avenir professionnel. Que ce soit par aversion au risque ou par peur de ne pas réussir à financer cette nouvelle carrière. Si c’est ce dernier point qui bloque, il existe plusieurs mécanismes pour ne pas débourser un centime mais qui demande de la paperasserie. Vous pouvez vous faire accompagner. Explications

Reconversion : Comment la financer?

Pour les salariés :

Reconversion : Comment la financer?

Le compte professionnel de formation

Description : Réformé en 2015 pour offrir plus de liberté aux salariés, le CPF est le fameux compte professionnel de formation. Calculé en euros, il permet à chaque salarié d’accumuler une certaine somme chaque année (comprise entre 500 et 800 euros avec un plafonnement à 5000 ou 8000 euros), destiné à lui permettre de se former librement, sans avoir à demander l’autorisation à son supérieur. L’objectif est clair : faciliter la montée en compétence pour obtenir une promotion ou se reconvertir dans un autre secteur. Attention toutefois, le CPF est utilisable pour certaines formations seulement recensées dans l’espace personnel des salariés.

Si la formation choisie s’effectue en dehors du temps de travail, il est inutile d’avertir l’employeur. Dans le cas contraire, une demande doit être envoyée en recommandé, 60 jours avant le début de la formation si celle-ci dure moins de 6 mois, 120 jours sinon. L’employeur a alors 30 jours pour valider ou non la demande.

Bénéficiaires : Salariés, indépendants, conjoints collaborateurs, demandeurs d’emploi.

Frais pris en charge : La somme accumulée permet de financer tout ou partie des frais pédagogiques ainsi que ceux liés à la validation des acquis mais ne prend pas en compte les frais annexes comme l’hébergement, les transports ou la restauration, ni la rémunération du salarié.

Reconversion : Comment la financer?

Le CPF de transition professionnelle

Description : Le CPF de transition professionnelle ou projet de transition professionnelle ne s’adresse pas seulement aux personnes en reconversion. Il a, en effet, pour ambition de renforcer la qualification des collaborateurs et collaboratrices, de faciliter leur évolution dans l’entreprise ou leur reconversion. Sa différence avec le CPF ? Il permet de s’absenter de l’entreprise durant toute la durée de la formation, sans que l’employeur puisse s’y opposer.
Afin de bénéficier de ce dispositif, le salarié doit élaborer un projet de formation, effectuer un devis auprès du prestataire choisi et présenter son projet à la Commission paritaire interprofessionnel régionale qui statuera sur sa pertinence.

De même que pour le CPF, si la formation nécessite une absence, la demande doit être effectuée 60 jours avant le début de la formation si celle-ci dure moins de 6 mois, 120 jours au-delà de cette durée. L’employeur dispose de 30 jours pour envoyer sa réponse tout en sachant qu’il ne peut pas refuser cette demande excepté si les critères ne sont pas remplis par le salarié ou si cela engendre une trop grande difficulté pour l’entreprise. Dans ce dernier cas, il peut obliger le salarié à retarder de 9 mois maximum le suivi de sa formation.

Bénéficiaires : Salariés en CDD, en CDI (avec 24 mois d’ancienneté), les intérimaires et intermittents du spectacle sous certaines conditions (nombre d’heures travaillées ou de cachets signés).

Frais pris en charge : Les frais pédagogiques dans la limite de 18 000 euros TTC, les frais annexes (transport, hébergement…), la rémunération du collaborateur et les cotisations de sécurité sociales afférentes. Un complément peut être versé par divers organismes si le coût de la formation est supérieur à ce prix.

Reconversion : Comment la financer?

La Transco ou transition collective

Description : Commencer directement un nouveau job sans passer par la case chômage, c’est le principe de la Transco. Ce dispositif, né dans le cadre du plan de Relance et effectif depuis le 15 janvier 2021, vise à aider les salariés dont l’emploi est menacé à se former pour trouver un emploi dans un secteur porteur en leur évitant une période de chômage. Pour mettre en place ce dispositif, l’employeur doit négocier avec les responsables sociaux un accord particulier dans lequel sont recensés les emplois en sursis. La durée de la formation ne doit pas excéder 24 mois et doit donner lieu à une certification.

Bénéficiaires : Les salariés en CDI, en CDD ou en intérim à condition de bénéficier de deux ans d’ancienneté et dont l’emploi est menacé.

Frais pris en charge : Ce dispositif est financé à travers le plan de Relance. L’État prend à sa charge tout ou partie de la formation en fonction des effectifs de l’entreprise. Si elle compte moins de 300 salariés, le financement est total, entre 300 et 1000 salariés, il s’élève à 75% (25% à la charge de l’entreprise) et au-delà d’un millier de salariés, l’entreprise paie 60% des formations contre 40% pour l’État. Le salarié n’a donc rien à payer et bénéficie d’une formation entièrement financée. Durant cette période, le salarié conserve sa rémunération dans sa totalité. Elle est remboursée à l’employeur par l’association de transition professionnelle.

Reconversion ou promotion par alternance Pro-A

Description : Ce dispositif s’adresse aux salariés souhaitant bénéficier d’une promotion professionnelle ou désireux de changer de métier. L’objectif de la formation, effectuée en alternance, est d’obtenir un niveau de qualification supérieure à celui que possède le salarié ou équivalent s’il s’agit d’une reconversion.

La formation doit s’effectuer en alternance, soit sur le temps de travail avec maintien de la rémunération, soit en dehors (avec l’accord du salarié). Elle peut durer entre 6 et 12 mois (avec reconduction du dispositif possible jusqu’à 36 mois). Cette solution permet à l’entreprise de renforcer les compétences de ses collaborateurs et collaboratrices pour pérenniser leur engagement dans l’entreprise et faciliter la mobilité interne.

Bénéficiaires : Salariés en CDI, salariés en contrat unique d’insertion à durée indéterminée, sportifs ou entraîneurs professionnels en CDD.

Frais pris en charge : La rémunération est conservée par l’employeur. Les frais pédagogiques et les frais annexes sont couverts en totalité ou partiellement par un forfait fixé par les accords de branche.

 

Le congé pour création ou reprise d’entreprise

Description : Cette solution ne permet pas à proprement parler de financer sa formation ou sa reconversion professionnelle mais elle facilite la reprise ou la création d’entreprise en laissant la possibilité au salarié de prendre un congé total ou partiel de son poste et d’y revenir -à poste et salaire équivalent- si son projet ne fonctionne pas.

Pour bénéficier de ce dispositif, le salarié doit avoir un projet précis de reprise ou de création d’entreprise dans un domaine non concurrentiel. La mise en place de cette procédure nécessite l’accord de l’employeur -suite à l’envoi d’une demande en recommandé, deux mois minimum avant la prise de congé souhaitée. L’employeur peut refuser ou demander le report de ce congé pour protéger son entreprise. La durée de ce congé varie selon les accords de branche. Si aucun texte ne réglemente le sujet, cette durée est fixée à un an maximum renouvelable une fois. Pour recouvrer son poste, le salarié doit prévenir son employeur de sa volonté de revenir au minimum trois mois avant la fin de son congé.

Bénéficiaires : Les salariés qui souhaitent créer ou reprendre une entreprise dont ils auront le contrôle à condition qu’ils n’aient pas déjà bénéficié d’un tel congé au cours des trois dernières années.

Frais pris en charge : La rémunération du salarié est proportionnelle au temps passé dans l’entreprise. Aucune rémunération n’est prévue si le salarié s’absente de son poste à temps complet. Il peut cependant bénéficier de l’ACRE (Aide à la création ou à la reprise d’une entreprise) qui exonère de certaines charges sociales.

Pour les demandeurs d’emploi :

L’action de formation dispensée par Pôle emploi

Description : Ce mécanisme vise à faciliter le retour à l’emploi des demandeurs d’emploi en comblant le fossé entre leurs compétences actuelles et les exigences du marché de l’emploi. À travers la formation qu’il effectue, le demandeur d’emploi doit acquérir un savoir-faire (langue étrangère, savoir technique ou permis de conduire) ou un diplôme (nécessaire à la reconversion par exemple).

Bénéficiaires : Les demandeurs d’emploi bénéficiant ou non d’une indemnisation.

Frais pris en charge : La totalité de la formation est prise en charge par Pôle Emploi qui verse directement la somme à l’organisme de formation choisi. Aucune participation n’est demandée au bénéficiaire.

POE (C) Préparation opérationnelle à l’emploi collective

Description : Rien de nouveau avec ce mécanisme qui a pour ambition de favoriser la réinsertion durable des demandeurs d’emplois. La POE(C) permet de suivre des formations visant à acquérir les compétences recherchées dans des secteurs en pénurie de main d’oeuvre.

Bénéficiaires : Les demandeurs d’emploi sans condition de rémunération.

Frais pris en charge : La formation est gratuite et durant toute la durée de celle-ci, le demandeur d’emploi bénéficie du statut de stagiaire de la formation professionnelle et de la gratification relative.

 

AIF (aide individuelle à la formation)

Description : Ce dispositif est utilisé en dernier recours lorsque le demandeur d’emploi ne peut pas bénéficier des autres aides existantes ou qu’elles ne permettent pas de payer dans la totalité la formation souhaitée dans le cadre d’une reconversion ou d’un projet professionnel. La formation en question doit avoir pour objectif de combler le fossé entre les compétences actuelles du bénéficiaire et les exigences du poste souhaité.Pour en bénéficier, le demandeur d’emploi doit être accompagné dans le cadre d’un contrat de sécurisation professionnelle (CSP). Mais s’il bénéficie déjà de la POE, il n’est pas éligible à ce dispositif.

Bénéficiaires : Les demandeurs d’emploi accompagnés dans le cadre d’un contrat de sécurisation professionnelle.

Frais pris en charge : La totalité des frais restant à la charge du demandeur d’emploi à l’exception des frais d’inscription à la formation ou à un examen ou ceux relatifs à l’achat de matériels.

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Formation développeur qui conduit à l’emploi

Le développement informatiques est partout : Dans toutes les industries, toutes les sociétés, les organisations et structures. Après l’analyse des besoins et la rédaction d’un cahier des charges, les développeurs, les codeurs, rédigent des programmes dans des langages informatiques et construisent des programmes et logiciels au service des utilisateurs

Formation développeur qui conduit à l’emploi

Quelles perspectives pour les développeurs informatiques ?

Avoir de l’expérience dans ce métier n’est pas inutile pour traiter des questions de sécurité, de développement répondant aux demandes de  la clientèle et lisibles sur les interfaces mobiles. Il est certain que la formation dans ces domaines ne pourra qu’augmenter les chances de trouver une embauche.

Au vu de la rapidité du développement du secteur informatique, il est important que les développeurs informatiques, continuent à se former pour rester compétitif et rester pointu dans toutes les technologies du code informatique

Quelles formations pour le métier de développeur informatique ?

Il est certain que la formation continue permet de rester à jour sur les nouvelles techniques de programmation. Regardez les formations qui permettent de se perfectionner et de développer des compétences  Aujourd’hui, les employeurs attendent de l’expérience dans la gestion de projets, de l’agilité et une compréhension des besoins du client.

Si vous êtes développeurs informatiques, vous pouvez vous former pour être par exemple développeurs de logiciels, développeurs d’applications ou développeurs Web. Vous pouvez également être analystes programmeurs.

Si c’est une question de mise à jour des connaissances informatiques, plusieurs formations de différents niveaux sont disponibles. Par exemple sur la programmation, la gestion de projet, la sécurité de l’information, l’architecture système, le développement d’applications, méthodes agiles, Java, GIT, SQL Server, Python, .Net ou BizTalk. 

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Formation Développeur : La Clé pour un Emploi Garanti

Le secteur du développement informatique est en pleine expansion. Avec la numérisation croissante de tous les aspects de notre vie, la demande pour des développeurs compétents n’a jamais été aussi forte. Pour ceux qui cherchent à se lancer dans une carrière prometteuse, suivre une formation de développeur est une voie presque garantie vers l’emploi. Dans cet article, nous explorerons pourquoi la formation de développeur est si efficace pour accéder au marché du travail, les différentes options de formation disponibles, et comment maximiser ses chances de réussite.

1. Pourquoi Devenir Développeur ?

1.1. Un Secteur en Pleine Croissance

L’industrie technologique est l’une des plus dynamiques et des plus en croissance rapide. Selon une étude de LinkedIn, les compétences en développement sont parmi les plus recherchées par les employeurs. Que ce soit pour créer des applications mobiles, développer des sites web ou travailler sur des logiciels, les opportunités sont nombreuses et variées.

1.2. Des Salaires Attractifs

Le métier de développeur est également bien rémunéré. Selon Glassdoor, le salaire moyen d’un développeur en France est d’environ 40 000 euros par an, avec des possibilités d’évolution rapide. Les compétences techniques sont valorisées et bien payées, surtout pour ceux qui ont une spécialisation dans des domaines comme l’intelligence artificielle ou le développement de jeux vidéo.

1.3. Flexibilité et Télétravail

Le développement informatique offre une grande flexibilité en termes de conditions de travail. Beaucoup de développeurs travaillent en télétravail, ce qui permet de mieux concilier vie professionnelle et personnelle. De plus, les développeurs peuvent souvent choisir leurs projets et travailler en freelance, offrant encore plus de liberté.

2. Les Différentes Options de Formation

2.1. Formations Universitaires

Les formations universitaires en informatique sont une voie classique pour devenir développeur. Elles offrent une base solide en programmation, algorithmes, et structures de données, ainsi que des compétences théoriques approfondies. Les diplômes universitaires, tels que la Licence et le Master en Informatique, sont reconnus et respectés par les employeurs.

2.2. Bootcamps de Codage

Les bootcamps de codage sont des programmes intensifs qui se concentrent sur les compétences pratiques nécessaires pour devenir développeur en quelques mois seulement. Ils sont souvent axés sur des technologies spécifiques comme JavaScript, Python, ou Ruby on Rails. Ces formations sont idéales pour ceux qui veulent entrer rapidement sur le marché du travail.

2.3. Formations en Ligne

Les plateformes en ligne comme Coursera, edX, et Udacity offrent des cours de développement accessibles à tous. Ces cours peuvent être suivis à votre propre rythme et couvrent une large gamme de sujets, du développement web à l’intelligence artificielle. Les certifications obtenues en ligne sont de plus en plus reconnues par les employeurs.

2.4. Formations Professionnelles et en Alternance

Les formations professionnelles et en alternance combinent théorie et pratique en entreprise. Elles permettent d’acquérir des compétences tout en travaillant et sont souvent financées par l’employeur. Les diplômes obtenus, tels que les BTS et les DUT, sont bien valorisés sur le marché de l’emploi.

3. Comment Choisir la Bonne Formation ?

3.1. Identifier ses Objectifs

Avant de choisir une formation, il est crucial d’identifier vos objectifs de carrière. Voulez-vous devenir développeur web, développeur mobile, ou vous spécialiser en data science ? Chaque domaine nécessite des compétences spécifiques et peut influencer votre choix de formation.

3.2. Évaluer les Programmes

Comparez les différents programmes de formation en fonction de leur contenu, de leur durée, et de leur coût. Recherchez des avis d’anciens étudiants et des taux de placement après la formation. Les programmes avec un fort taux de placement et des partenariats avec des entreprises sont souvent les plus efficaces pour trouver un emploi.

3.3. Considérer la Flexibilité

Votre disponibilité et votre mode de vie jouent également un rôle dans le choix de la formation. Les cours en ligne offrent la plus grande flexibilité, tandis que les formations en alternance nécessitent un engagement plus structuré. Choisissez une option qui correspond à votre emploi du temps et à vos préférences d’apprentissage.

4. Maximiser ses Chances de Trouver un Emploi

4.1. Construire un Portefeuille de Projets

Un portefeuille de projets est essentiel pour démontrer vos compétences pratiques aux employeurs. Travaillez sur des projets personnels, contribuez à des projets open source, ou réalisez des missions freelance pour enrichir votre portfolio. Les employeurs valorisent les preuves tangibles de vos compétences.

4.2. Réseauter dans l’Industrie

Le réseautage est crucial pour trouver des opportunités d’emploi. Participez à des meetups, des hackathons, et des conférences pour rencontrer des professionnels de l’industrie. Utilisez LinkedIn pour vous connecter avec des recruteurs et des développeurs expérimentés.

4.3. Préparer les Entretiens Techniques

Les entretiens techniques sont une étape clé dans le processus de recrutement des développeurs. Préparez-vous en pratiquant des exercices de codage et en révisant les concepts fondamentaux. Des sites comme LeetCode et HackerRank offrent des exercices pour vous entraîner.

4.4. Continuer à Apprendre

Le domaine de la technologie évolue rapidement. Continuez à apprendre de nouvelles technologies et à améliorer vos compétences. Suivez des cours supplémentaires, lisez des livres techniques, et restez à jour avec les tendances de l’industrie pour rester compétitif sur le marché de l’emploi.

Conclusion

Suivre une formation de développeur est une voie prometteuse vers l’emploi dans un secteur en pleine expansion. Que vous choisissiez une formation universitaire, un bootcamp de codage, une formation en ligne ou une formation en alternance, l’essentiel est de trouver une option qui correspond à vos objectifs et à votre mode de vie. En construisant un solide portefeuille de projets, en réseautant activement, en vous préparant aux entretiens techniques et en continuant à apprendre, vous maximiserez vos chances de réussite. N’hésitez pas à explorer nos programmes de formation pour découvrir comment nous pouvons vous aider à lancer votre carrière de développeur.

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MOTS CLÉS 

 
  1. Formation développeur
  2. Devenir développeur
  3. Emploi développeur
  4. Bootcamp de codage
  5. Développeur web
  6. Développeur mobile
  7. Formation informatique
  8. Carrière en développement
  9. Apprentissage du codage
  10. Compétences en programmation
  11. Développement logiciel
  12. Portefeuille de projets développeur
  13. Réseautage professionnel développeur
  14. Entretien technique développeur
  15. Éducation en ligne développement
 

SOURCES

  1. LinkedIn – Pour des études sur les compétences en demande et les salaires dans le secteur du développement informatique.

  2. Glassdoor – Pour des informations sur les salaires moyens des développeurs en France et ailleurs.

  3. Coursera, edX, Udacity – Pour des informations sur les cours en ligne et les certifications disponibles en développement informatique.

  4. LeetCode, HackerRank – Pour des ressources et des exercices de préparation aux entretiens techniques.

  5. Ministère de l’Éducation Nationale – Pour des informations sur les diplômes universitaires en informatique et les programmes de formation professionnelle.

  6. Articles de blog spécialisés en technologie et en éducation – Pour des conseils pratiques et des études de cas sur les carrières en développement informatique.

  7. Meetup, Hackathon – Pour des informations sur les événements de réseautage et les opportunités de collaboration dans le domaine du développement informatique.

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Reconversion : Oui, à 50 ans c’est possible!

C’est vrai faire une reconversion n’est pas simple, et retourner en formation ou changer de métier à 50 ans paraît difficile. En plus il y a les difficultés de la vie (crédits, personnes à charge, etc.). Il faut être sûr de soi car chaque âge possède ses forces et ses atouts.  On vous dit tout : Dans les métiers de l’IT, des formations sont ouvertes justement pour des publics en reconversion.

Reconversion : Oui, à 50 ans c’est possible!

Quel a été votre parcours ?

Ecoutons Catherine Delaballe :  Mon parcours d’assistante de Direction est atypique dans le sens où cette fonction transverse m’a permis de travailler dans des secteurs très différents tout en changeant de poste tous les 3-4 ans. Ainsi, au fil de mes premières expériences j’ai intégré le secteur bancaire, celui des logiciels dans une société américaine, puis l’Éducation nationale. J’ai ensuite saisi des opportunités au sein de cabinet d’avocats spécialisés. Cela a constitué un tournant et tracé le chemin de ma reconversion actuelle vers les métiers du droit. Devenue assistante de la directrice juridique d’un grand acteur de la réparation automobile, j’ai pu mettre en pratique mes connaissances, notamment en propriété intellectuelle et droit des sociétés.

À l’heure actuelle, de plus en plus de personnes envisagent une reconversion professionnelle à 50 ans. Les raisons sont variées : besoin de nouveaux défis, envie de réaliser un rêve longtemps mis de côté, ou simplement nécessité de s’adapter à un marché du travail en constante évolution. Contrairement à certaines idées reçues, l’âge ne doit pas être un obstacle à la reconversion. Dans cet article, nous explorons les raisons pour lesquelles une reconversion à 50 ans est non seulement possible, mais aussi avantageuse.

Pourquoi se Reconvertir à 50 Ans ?

Envie de Nouveaux Défis

À 50 ans, de nombreuses personnes ressentent le besoin de sortir de leur zone de confort et de se lancer dans de nouveaux projets. Après des décennies dans le même secteur, l’envie de découvrir de nouvelles horizons et de relever de nouveaux défis devient une motivation puissante. La reconversion permet de se réinventer et de donner un nouveau souffle à sa carrière.

Adaptation au Marché du Travail

Le marché du travail évolue rapidement, avec l’émergence de nouvelles technologies et de nouveaux métiers. Les compétences qui étaient en demande il y a 20 ou 30 ans ne le sont plus nécessairement aujourd’hui. Se reconvertir à 50 ans peut être une réponse stratégique pour rester compétitif et s’adapter aux nouvelles réalités économiques.

Réaliser un Rêve

Beaucoup de personnes de 50 ans ou plus envisagent la reconversion comme une opportunité de réaliser un rêve de longue date. Que ce soit ouvrir un restaurant, devenir artiste, ou travailler dans le secteur associatif, la reconversion offre la possibilité de suivre sa passion et de faire ce que l’on aime vraiment.

Les Avantages de la Reconversion à 50 Ans

Expérience et Maturité

À 50 ans, on dispose d’une riche expérience professionnelle et personnelle. Cette maturité est un atout majeur pour réussir une reconversion. Les employeurs reconnaissent la valeur de l’expérience, et celle-ci peut être un levier important dans la transition vers un nouveau métier.

Réseau Professionnel Solide

Après plusieurs décennies de carrière, on a généralement construit un réseau professionnel solide. Ce réseau peut être extrêmement utile lors d’une reconversion, offrant des opportunités, des conseils, et des soutiens précieux.

Meilleure Connaissance de Soi

À cet âge, on a souvent une meilleure connaissance de soi-même, de ses forces et de ses faiblesses. Cela permet de choisir une nouvelle voie qui correspond vraiment à ses aspirations et à ses compétences, augmentant ainsi les chances de succès.

Les Étapes pour Réussir sa Reconversion

1. Faire un Bilan de Compétences Le bilan de compétences est une étape essentielle pour toute personne envisageant une reconversion. Il permet de faire le point sur ses compétences, ses aptitudes et ses motivations. Ce bilan aide à identifier les métiers qui correspondent le mieux à son profil et à ses aspirations. 2. Se Former La formation continue est un élément clé de la reconversion. À 50 ans, il est crucial de se former aux nouvelles compétences nécessaires pour le nouveau métier envisagé. De nombreuses formations sont disponibles, que ce soit à travers des organismes de formation, des cours en ligne ou des formations diplômantes. 3. Utiliser son Réseau Mobiliser son réseau professionnel et personnel est une stratégie efficace pour faciliter la reconversion. Le réseau peut offrir des opportunités d’emploi, des conseils précieux et même des mentors qui peuvent accompagner tout au long du processus. 4. Préparer sa Candidature Préparer une candidature adaptée au nouveau secteur est primordial. Cela inclut la mise à jour du CV, la rédaction de lettres de motivation spécifiques et la préparation aux entretiens. Mettre en avant ses expériences transférables et ses compétences acquises est essentiel pour convaincre les employeurs. 5. Faire Preuve de Patience et de Persévérance La reconversion peut être un processus long et parfois difficile. Il est important de faire preuve de patience et de persévérance. Les échecs et les obstacles font partie du parcours, mais avec détermination et résilience, la reconversion à 50 ans peut être une réussite. La reconversion à 50 ans est non seulement possible, mais aussi une formidable opportunité de se réinventer et de s’épanouir professionnellement. Avec une bonne préparation, des formations adéquates et un réseau solide, il est tout à fait envisageable de réussir sa transition vers une nouvelle carrière. N’hésitez pas à franchir le pas et à poursuivre vos rêves, quelle que soit votre âge.

Si vous voulez suivre les travaux des experts compétences vous pouvez rejoindre le blog de la formation et vous inscrire à la Newsletter. Les experts compétences accompagnent tous les projets à forte composante numérique autour du Marketing, du Management et de la Formation. Ceci pour des organismes de formation comme pour des clients directs. Pour les contacter, laissez leur un message

 

Mots Clés :

 

Reconversion professionnelle, carrière à 50 ans, changement de métier, formation continue, emploi senior, marché du travail

Sources

 

Pôle Emploi : Informations et accompagnement pour la reconversion professionnelle.
AFPA : Formations professionnelles pour adultes.
Mon Compte Formation : Accès aux formations financées.

 
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Comment devenir développeur Java? ce n’est pas compliqué

Java : découvrir Java, approfondir Java, industrialiser un projet Java, maitriser les tests Java par la pratique, contrôler la qualité en Java, manipuler les bases de données avec Java, sécuriser son application en Java…

langages informatiques formations conseils

Le développeur  Java possède de solides connaissances en informatique et maîtrise de nombreux logiciels. Le développeur est en capacité soit de créer de nouvelles applications, soit d’apporter des améliorations à des applications existantes grâce à des modules d’extension. Il ne faut pas confondre cette profession avec celle du développeur informatique qui lui dispose d’une maîtrise complète des différents langages de programmation.

Un développeur  Java doit être en capacité de travailler rapidement et également être polyvalent. Il est indispensable de disposer des bases dans la compréhension de la langue anglaise. Au delà des compétences techniques et d’une solide connaissance de l’environnement technique Java, le développeur doit faire preuve de qualités relationnelles et d’autonomie : il est important d’être à l’écoute du client mais également de son équipe s’il évolue au sein d’une entreprise ou d’une agence.

Le développeur Java doit répondre aux besoins de son employeur ou d’un client extérieur. Ce professionnel peut travailler :

  • en freelance
  • au sein d’une agence spécialisée
  • au sein d’une entreprise

Le salaire moyen d’un développeur Java tourne autour de 2200 euros par mois au début de sa carrière. Une rémunération qui peut vite évoluer en même temps que vos années d’expérience. Le marché du travail offre de nombreuses opportunités à ceux qui veulent se lancer dans cette carrière : développeur représente une métier d’avenir. Certaines régions de France sont particulièrement attractives en ce qui concerne les offre d’emploi du numérique.

 

LES FORMATIONS NIVEAU INGENIEUR SONT RARES

  • Il est important de mentionner qu’il existe des formations professionnelles spécifiquement dédiées à l’enseignement du langage de programmation Java. Beaucoup d’adultes souhaitent développer de nouvelles compétences en informatique afin de pouvoir évoluer au sein de l’entreprise et entrer dans l’ère du numérique. Vous trouvez ces formations chez Ziggourat avec un diplôme d’état à niveau 6. Attention! cette formation s’adresse déjà à des candidats qui connaissent le développement et des langages informatiques.

 

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Navigateurs web : ces paramètres à changer immédiatement pour protéger votre vie privée

Les navigateurs web sont utilisés quotidiennement. S’ils protègent votre vie privée à un certain niveau, il y a beaucoup à faire pour renforcer cette protection. Explication.

La vie privée est devenue une priorité pour de nombreux éditeurs de navigateurs web mais ceux-ci ne vont peut-être pas aussi loin dans la lutte que vous le voudriez. Voici comment renforcer la protection de votre vie privée pour limiter au maximum le tracking en ligne.

Les problèmes comme le scandale de Facebook et Cambridge Analytica ont augmenté la protection de la vie privée sur la liste des priorités des entreprises de la Silicon Valley en montrant comment certaines entreprises peuvent récupérer vos données personnelles et façonner un profil détaillé pour faire de vous une cible plus facile pour la publicité.

 

 

Apple et Google se livrent une guerre pour le web, Google promouvant un web interactif pour concurrencer les applications natives et Apple œuvrant plus lentement – notamment parce que le géant s’inquiète que les nouvelles fonctionnalités affaiblissent la sécurité ou soient ennuyeuses à utiliser -. La vie privée ajoute une autre dimension à cette compétition et dans le choix de votre navigateur.

Apple a fait de la vie privée sa priorité dans tous ses produits, y compris Safari. Pour la startup Brave, la vie privée un élément central, Mozilla et Microsoft, eux, vantent la vie privée comme un moyen de se différencier de Google Chrome. Les ingénieurs de la firme de Mountain View, eux, travaillent sur un “bac à sable pour la vie privée” malgré la dépendance de Google aux revenus publicitaires.

Sur tous les navigateurs web cités ci-dessus, vous pouvez déjà renforcer la protection de vos données personnelles en changeant le moteur de recherche par défaut. Essayez par exemple DuckDuckGo. Si ses résultats ne sont pas aussi utiles ou profonds que ceux de Google, DuckDuckGo est le champion du respect de la vie privée.

D’autres options universelles existent : désactiver la géolocalisation et les fonctionnalités d’autocomplétion dans le moteur de recherche, désactiver le remplissage automatique des mots de passe, effacer régulièrement l’historique de navigation. Si vous voulez passer à un autre niveau encore, envisagez d’utiliser un VPN.

Il y a aussi un certain nombre de paramètres de navigateur que vous pouvez changer pour vous aider à rester éloigné(e) des trackers publicitaires.

Les paramètres Chrome à changer

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Campus Cyber, le vaisseau amiral de la cybersécurité française, ouvrira ses portes en février 2022

Destiné à devenir le lieu totem et multifonctions de la cybersécurité, le Campus Cyber prépare son lancement. Le succès serait tel que Michel Van Den Bergue, son patron, évoque déjà la possibilité d’une extension

Initié par le président de la République, le Campus Cyber se destine à devenir le « lieu totem de la cybersécurité ». Le lieu doit réunir les acteurs, grands et petits, de la sécurité numérique pour aider la France à franchir un nouveau palier en la matière. Pour cela, des start-up, entreprises et grands groupes collaboreront avec l’État et d’autres organismes dans un bâtiment flambant neuf de 26 000 m², du côté de Paris La Défense. Outre la mobilisation, la formation et l’innovation, le Campus Cyber se veut un lieu opérationnel où le partage des données devra conduire à de meilleures détection et réponses aux menaces.

Michel Van Den Berghe, ancien patron d’Orange Cyberdéfense et président du Campus Cyber, explique sa stratégie pour faire de ce lieu le vaisseau amiral de la cybersécurité française.

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Certification : Votre diplôme est-il reconnu ?

Combien y a-t-il d’écoles post-bac (de commerce, d’ingénieurs, d’arts…)? N’est-il pas difficile d’y voir clair… Comment découvrir, même si elles sont très connues, si elles bénéficient de la part de l’Etat d’un diplôme reconnue par France Compétences ou validé par les entreprises, autrement dit comment savoir si les  enseignements sont de qualité?

Il manque dans  cet article, les organismes formations qui délivrent des diplômes d’état et qui dépendent de la formation professionnelle continue. Ziggourat, en fait partie, et propose plusieurs formations supérieures accessibles même sans le bac. Ce sont des filières professionnelles qui donnent directement accès à l’emploi dans les carrières informatiques. Par exemple :

 

Les écoles reconnues par l’Etat

La reconnaissance par l’Etat atteste que l’école possède toutes les conditions nécessaires à l’obtention des diplômes auxquels elle prépare. Il y a reconnaissance si, et seulement si, au moins une promotion d’étudiants a été diplômée, et après contrôle des équipements, des locaux, de la qualité pédagogique des enseignements, de l’administration du personnel enseignant, de la gestion et des équilibres financiers de l’école.

Les écoles reconnues reçoivent des subventions de l’Etat et peuvent accueillir des élèves boursiers.

La reconnaissance des diplômes en France

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