FORMATION CONCEPTEUR DÉVELOPPEUR D’APPLICATIONS – TP – MINISTÈRE DU TRAVAIL

Chez Ziggourat, ce parcours de formation vous permet de préparer le titre professionnel de concepteur développeur d’applications, il s’agit de : Prendre en charge le développement d’applications informatiques de la conception au déploiement • Intervenir sur les différentes phases du processus de développement logiciel dans différents langages de programmation • Gérer le testing, le versioning et appliquer une démarche qualité • Savoir développer pour des applications mobiles, conduire un projet ainsi qu’une équipe de développeur • Être en veille et assurer la maintenance des applications informatiques • Tenir les délais et les budgets

 

PUBLIC

• Toute personne de niveau bac +2 (ou titulaire du DWWM) souhaitant une reconversion dans les métiers du codage informatique • Tout demandeur d’emploi ayant une expérience de développeur • Toute personne souhaitant une montée en compétence dans le domaine des langages informatiques • Tout étudiant (à bac+2 scientifique) souhaitant rejoindre la filière informatique après le bac • Toute personne de niveau bac +2 (ou titulaire du DWWM) souhaitant une reconversion dans les métiers du codage informatique • Tout demandeur d’emploi ayant une expérience de développeur dans les langages structurés • Toute personne souhaitant une montée en compétence dans le domaine des langages informatiques (Java, PHP, Python) Tout étudiant (à bac+2 scientifique) souhaitant rejoindre la filière informatique après le bac

DURÉE

798 heures en présentiel ou en classe virtuelle sur 114 jours

PRÉ-REQUIS

Niveau bac + 2 ou équivalent (DWWM). La formation exige un bon niveau de culture web, une connaissance de l’anglais et un goût prononcé pour les nouvelles technologies La connaissances d’un langage de programmation ou d’algorithmes est nécessaire ainsi que la manipulation de bases de données Les prérequis sont vérifiés dans le cadre d’une évaluation diagnostique (tests d’entrée et étude de dossier) par les conseillers formation

FORMATEUR

Formateurs expérimentés, spécialistes dans leur domaine avec une expertise métier d’au moins 5 ans.

MÉTHODE PÉDAGOGIQUE

Entre 8 et 12 personnes par session. Les enseignements laissent une large place à la pratique, chaque module donne lieu à la réalisation de projets collectifs ou individuels inspirés de situations réelles qui permettent à l’étudiant d’appliquer au fur et à mesure les notions abordées. Autonomie, curiosité sont ainsi favorisées pour développer des compétences indispensables aux métiers du digital en perpétuelle évolution.

MODALITÉ DE VALIDATION DES ACQUIS

Évaluation continue via des exercices applicatifs et/ou des ateliers de mise en pratique tout au long de la formation. Les compétences des candidats pour l’accès au titre professionnel sont évaluées par un jury au vu d’une mise en situation professionnelle ou d’une présentation d’un projet réalisé en amont de la session, éventuellement complétée par d’autres modalités d’évaluation (entretien technique, questionnaire professionnel, questionnement à partir de production(s)), du dossier professionnel et de ses annexes éventuelles, des résultats des évaluations passées en cours de formation pour les candidats issus d’un parcours de formation et d’un entretien avec le jury destiné à vérifier le niveau de maîtrise par le candidat des compétences requises pour l’exercice des activités composant le titre visé. Un parchemin est attribué au candidat ayant obtenu le titre complet. Un livret de certification est remis au candidat en réussite partielle. Ces deux documents sont délivrés par le représentant territorial compétent du ministère du Travail.


PROGRAMME CONCEPTEUR DÉVELOPPEUR D’APPLICATIONS – TP – MINISTÈRE DU TRAVAIL – NIVEAU 6

CCP – Concevoir et développer des composants d’interface utilisateur en intégrant les recommandations de sécurité

  • Maquetter une application.
  • Développer une interface utilisateur de type desktop.
  • Développer des composants d’accès aux données.
  • Développer la partie front-end d’une interface utilisateur web.
  • Développer la partie back-end d’une interface utilisateur web.

CCP – Concevoir et développer la persistance des données en intégrant les recommandations de sécurité

  • Concevoir une base de données.
  • Mettre en place une base de données.
  • Développer des composants dans le langage d’une base de données.

CCP – Concevoir et développer une application multicouche répartie en intégrant les recommandations de sécurité

  • Collaborer à la gestion d’un projet informatique et à l’organisation de l’environnement de développement.
  • Concevoir une application.
  • Développer des composants métier.
  • Construire une application organisée en couches.
  • Développer une application mobile.
  • Préparer et exécuter les plans de tests d’une application.
  • Préparer et exécuter le déploiement d’une application.
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Contrat d’Engagement Jeune pour les plus éloignés de l’emploi

Le Contrat Engagement Jeune est une mesure simple : de l’engagement, de l’assiduité, de la motivation et un État qui accompagne tous les jeunes de moins de 26 ans sans formation ni emploi depuis plusieurs mois.
Dans la lignée du plan « 1 jeune, 1 solution », le Contrat d’Engagement Jeune mobilisera les entreprises pour favoriser les découvertes de métiers, les immersions dans un collectif de travail et la formation en alternance. Découvrez le dossier de presse.

Contrat d’Engagement Jeune pour les jeunes les plus éloignés de l’emploi

 

Le plan « 1 jeune, 1 solution », qui a été mis en place en juillet 2020 pour accompagner les jeunes dans la crise, fonctionne. Il a permis à plus de 3 millions de jeunes de trouver un emploi, un parcours d’insertion ou une formation.
Tandis que le chômage des jeunes avait explosé lors de la précédente crise de 2008-2009 (+31 %), il a aujourd’hui légèrement reculé par rapport à ce qu’il était avant la crise.

 

Depuis le mois de mai, l’économie a rebondi de manière vigoureuse. De nombreux jeunes ont ainsi trouvé le chemin de l’emploi : près de 1,9 million d’entre eux ont été embauchés en CDD de + d’1 mois ou en CDI entre mai et septembre 2021, soit une hausse de 17 % par rapport à 2019.

 

Toutefois, malgré cette bonne reprise et les tensions de recrutement dans certains secteurs, trop de jeunes peu ou pas qualifiés restent encore sur le bord de la route et ne sont pas en mesure de trouver seuls un emploi.

Certains ont connu des parcours de vie heurtés (parfois à cause d’un handicap), d’autres ont décroché du système scolaire, n’ont bénéficié d’aucune formation, sont sans réseau ou ignorent les démarches à mener pour trouver un emploi. Ces jeunes se retrouvent évincés durablement du marché du travail. Ce phénomène ne date pas d’hier ; depuis trop longtemps, il fait de notre pays un des derniers de la classe en matière d’insertion des jeunes en Europe.

Le Gouvernement a donc décidé de proposer à ces jeunes un accompagnement profondément renouvelé avec un objectif d’entrée plus rapide dans l’emploi.
Il s’agit d’aller chercher ces jeunes et de leur permettre d’accéder à un emploi grâce à un accompagnement exigeant et intensif. Investir aujourd’hui dans la jeunesse, c’est un pari gagnant pour une insertion plus rapide des jeunes pour leur avenir et pour notre économie.
Dans la lignée d’« 1 jeune, 1 solution », le Contrat d’Engagement Jeune mobilisera les entreprises pour favoriser les découvertes de métiers, les immersions dans un collectif de travail et la formation en alternance.

Contrat d’Engagement Jeune pour les jeunes les plus éloignés de l’emploi

Les Contrats d’Engagement Jeune (CEJ) sont des parcours personnalisés qui visent à aider les jeunes de 16 à 25 ans (ou 29 ans pour les personnes handicapées) qui ne sont ni en emploi, ni en formation, ni en étude, à construire leur projet professionnel et à trouver un emploi durable. Mis en place en mars 2022, en remplacement de la Garantie jeunes, les CEJ proposent aux jeunes un accompagnement renforcé par un conseiller dédié, un programme d’activités variées (ateliers, stages, formations, etc.) et une allocation pouvant aller jusqu’à 528 euros par mois¹². Mais où en sont les CEJ en cette fin d’année 2023, et qu’est-il prévu pour 2024 ? Voici un bilan et des perspectives.

Un bilan positif pour 2023

Selon les chiffres du ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, plus de 300 000 jeunes ont bénéficié d’un CEJ en 2023, soit une augmentation de 50% par rapport à 2022. Parmi eux, 60% ont été accompagnés par Pôle emploi et 40% par les missions locales. Le taux de satisfaction des jeunes est de 85%, et le taux de sortie positive (vers un emploi ou une formation qualifiante) est de 70%³.

Les CEJ ont permis aux jeunes de :

– Définir et bâtir un projet professionnel adapté à leurs envies, leurs compétences et aux besoins du marché du travail
– Acquérir ou renforcer des compétences transversales, techniques ou comportementales, grâce à des formations, des stages ou des immersions en entreprise
– Bénéficier d’un réseau, d’un soutien et d’une confiance en soi, grâce à l’accompagnement personnalisé, aux activités collectives et à l’allocation
– Accéder à un emploi durable, dans le secteur privé ou public, en CDI, en CDD ou en alternance, ou à une formation qualifiante, diplômante ou certifiante

Des perspectives encourageantes pour 2024

Fort de ce bilan positif, le gouvernement a décidé de poursuivre et de renforcer le dispositif des CEJ pour 2024, avec plusieurs objectifs :

– Augmenter le nombre de jeunes bénéficiaires, en passant de 300 000 à 400 000, avec une priorité pour les jeunes les plus éloignés de l’emploi, notamment ceux des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) ou des zones rurales
– Améliorer la qualité de l’accompagnement, en renforçant la formation et le suivi des conseillers, en diversifiant les modalités d’accompagnement (présentiel, distanciel, mixte), en adaptant le programme d’activités aux besoins et aux profils des jeunes, et en renforçant le partenariat avec les acteurs locaux (entreprises, associations, collectivités, etc.)
– Faciliter l’accès à l’emploi, en développant les passerelles avec les dispositifs du plan « 1 jeune, 1 solution », comme les emplois francs, les aides à l’embauche, les parcours emploi compétences (PEC), etc., en renforçant les liens avec les employeurs potentiels, et en valorisant les compétences acquises par les jeunes

Les CEJ sont donc un dispositif efficace et prometteur pour l’insertion professionnelle des jeunes, qui répond à la fois aux besoins des jeunes, des employeurs et de la société.

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« Critiques de l’école numérique »

L’ouvrage collectif Critiques de l’école numérique est un pavé de 400 pages dans « la mare de l’engouement pour l’éducation 2.0 ».

Plus de 20 professionnels y témoignent et analysent les problèmes de plus en plus importants que « le tout numérique » génère dans l’apprentissage, l’enseignement et les relations éducatives, de la petite enfance à l’université. Entretien avec Christophe Cailleaux, professeur d’histoire-géographie Critiques de l’école numérique Le numérique doit-il être au cœur de l’éveil des enfants, des apprentissages, du parcours éducatif ? L’ouvrage collectif Critiques de l’école numérique (Editions l’Échapée) est une première réponse — critique — à ces questionnements, très peu abordés, tant les technologies de l’information sont désormais déclarées incontournables dans tous les domaines. Les modalités d’apprentissages, la relation éducative, sociale, ont été en réalité transformées par ces outils qui se sont glissés un peu partout. Critiques de l’école numérique traite donc, grâce aux témoignages et analyses de professionnels de la rééducation et de l’éducation, des effets, contraintes, apports ou perturbations de la « numérisation éducative ». L’analyse d’un enseignant, intitulée « Le désastre des écrans sur les enfants », ouvre la première partie de l’ouvrage :  « Enfance ». Les constats de professionnels y sont alarmants, particulièrement sur les problèmes de développements de plus en plus importants liés à la surexposition des jeunes enfants aux écrans. Cet ouvrage, par touches successives, permet de mieux envisager les effets concrets de cette « nouvelle vie numérique » sur les enfants. Et les constats des professionnels sont unanimes, tels ceux de deux orthophonistes, Elsa Job-Pigeard et Carole Vanhoutte : « Si les outils numériques peuvent se substituer à l’humain dans certains domaines en lui rendant divers services, ils ne peuvent en aucun cas servir à accompagner l’enfant et à favoriser son éveil. »

L’école : laboratoire de l’économie numérique ?

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Web 3.0 : ce que signifie cette nouvelle version d’Internet

Et voilà, le web 3.0 est là Pour ceux qui avaient loupé la version 2, voici un petit récapitulatif : Le web 1, c’est la publication de contenus sur Internet. Les sites classiques ou vitrines, comme celui de votre agent immobilier. Avec le web 2, chacun devient créateur et pas seulement lecteur. On publie, commente, connecte, … au travers des réseaux sociaux par exemple. C’est aussi l’essor des services en ligne. On réserve son billet de train, on rédige ses notes personnelles, on tient sa comptabilité, on traite ses mails. Pour permettre ce niveau d’interaction, on a ramené plein de code JavaScript dans le navigateur. Web 3.0 : ce que signifie cette nouvelle version d’Internet

Alors ce web 3, qu’est-ce que ça change concrètement ?

Le web version 3 s’appuie sur une nouvelle technologie : la block-chain. Pour faire simple, c’est un algorithme qui met de la confiance dans les échanges entre inconnus, en supposant que certains parmi eux ont des intentions malveillantes. Avec la block-chain, il n’est plus nécessaire de faire confiance à une entité centralisée (Google, Amazon, Twitter, Crédit Agricole, …) pour utiliser des services en ligne. Le web 3, c’est la décentralisation. Et c’est aussi la prise de conscience de la valeur des données digitales. Elles deviennent des actifs numériques dont on jouit librement du droit de propriété. Avec le web 3, aucune entreprise ne détient exclusivement les données de ses utilisateurs. Parce que les données sont dans la block-chain.
Web 1 : les entreprises créent des données au profit des entreprises
Web 2 : les gens créent des données au profit des entreprises
Web 3 :les gens créent des données au profit des gens

Exemple : un journal d’informations en ligne

LIRE LA SUITE… Web 3.0 : L’avenir de l’Internet L’Internet, depuis sa création, a connu plusieurs versions, chacune apportant de nouveaux éléments et fonctionnalités. Après le Web 2.0, une nouvelle version de l’Internet est sur le point d’émerger : le Web 3.0. Cette nouvelle version apporte une évolution majeure dans le monde de la technologie et de l’Internet. Définition du Web 3.0 Le Web 3.0, également connu sous le nom de « la semantic web », est une évolution du Web 2.0 qui met l’accent sur la séparation des informations et des fonctionnalités. Il s’agit d’un concept qui vise à rendre l’Internet plus intelligente et plus automatisée, en utilisant des technologies comme l’IA et l’apprentissage automatique. Les caractéristiques du Web 3.0 Le Web 3.0 présente de nombreuses caractéristiques distinctives qui le distinguent du Web 2.0. Voici quelques-unes de ces caractéristiques :
  • Intelligence artificielle (IA) : Le Web 3.0 utilise l’IA pour améliorer l’expérience utilisateur. Les systèmes d’IA peuvent comprendre et répondre aux demandes des utilisateurs de manière plus efficace.
  • Apprentissage automatique : Le Web 3.0 utilise l’apprentissage automatique pour améliorer la personnalisation de l’expérience utilisateur. Les systèmes peuvent apprendre de l’utilisation de l’utilisateur pour fournir des suggestions personnalisées.
  • Interconnexion des données : Le Web 3.0 favorise l’interconnexion des données, ce qui permet aux utilisateurs de naviguer plus facilement entre différents types de données.
  • Sécurité : Le Web 3.0 met l’accent sur la sécurité des données. Les systèmes de sécurité sont renforcés pour protéger les utilisateurs contre les attaques en ligne.
Avantages du Web 3.0 Le Web 3.0 présente de nombreux avantages pour les utilisateurs et les entreprises. Voici quelques-uns de ces avantages :
  • Personnalisation : Le Web 3.0 offre une personnalisation de l’expérience utilisateur qui est plus avancée que celle du Web 2.0. Les systèmes peuvent apprendre de l’utilisation de l’utilisateur pour fournir des suggestions personnalisées.
  • Efficacité : Le Web 3.0 utilise des technologies avancées pour améliorer l’efficacité de l’Internet. Les systèmes d’IA peuvent comprendre et répondre aux demandes des utilisateurs de manière plus efficace.
  • Sécurité : Le Web 3.0 met l’accent sur la sécurité des données. Les systèmes de sécurité sont renforcés pour protéger les utilisateurs contre les attaques en ligne.
Conclusion Le Web 3.0 est une évolution majeure de l’Internet qui apporte de nombreuses améliorations. Il s’agit d’une nouvelle ère de l’Internet qui promet une expérience utilisateur plus personnalisée, plus efficace et plus sécurisée. En fin de compte, le Web 3.0 est une évolution qui peut changer la façon dont nous utilisons l’Internet.

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SIREN, SIRET, APE… tout savoir sur l’identification des entreprises

Toute entreprise qui débute son activité doit disposer de plusieurs numéros d’identification. Mais à quoi correspondent ces numéros ? Quelle est leur utilité ? Et comment les récupérer ? On vous explique la marche à suivre.

SIREN, SIRET, APE… tout savoir sur l’identification des entreprises

Les numéros SIREN et SIRET : l’identification de l’entreprise

Le numéro SIREN (pour « système d’identification du répertoire des entreprises ») est le numéro unique d’identification de chaque entreprise. C’est ce numéro qui permet d’identifier chaque entreprise auprès des administrations.

Le numéro SIRET (pour « système d’identification du répertoire des établissements ») permet lui d’identifier chaque établissement qui compose une entreprise. Il y a donc autant de n° SIRET que d’établissement dans l’entreprise. Il est composé de 14 chiffres : les 9 chiffres du numéro SIREN + les 5 chiffres du NIC (numéro interne de classement propre à chaque établissement).

Les numéros SIREN et SIRET sont générés par l’Insee et récupérés au même moment.

Le code APE : l’identification de l’activité principale de l’entreprise

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Lorsqu’on crée ou reprend une entreprise, on doit lui attribuer des identifiants qui permettent de la reconnaître et de la distinguer des autres. Ces identifiants sont le SIREN, le SIRET et le code APE. Mais à quoi correspondent-ils exactement et comment les obtenir ? Voici tout ce qu’il faut savoir sur l’identification des entreprises

 

Qu’est-ce que le SIREN ?

Le SIREN (Système d’Identification du Répertoire des ENtreprises) est un numéro à 9 chiffres qui identifie de façon unique chaque entreprise en France. Il est attribué par l’INSEE (Institut National de la Statistique et des Études Économiques) lors de l’immatriculation de l’entreprise au répertoire Sirene. Le SIREN est invariable et ne change pas en cas de modification de la situation juridique, fiscale ou géographique de l’entreprise. Il figure sur tous les documents officiels de l’entreprise, tels que les factures, les contrats ou les déclarations sociales.

 

Qu’est-ce que le SIRET ?

Le SIRET (Système d’Identification du Répertoire des ETablissements) est un numéro à 14 chiffres qui identifie chaque établissement de l’entreprise. Il est composé du numéro SIREN de l’entreprise suivi d’un numéro NIC (Numéro Interne de Classement) à 5 chiffres qui distingue les différents établissements de l’entreprise. Le SIRET est attribué par l’INSEE lors de la création ou de la modification d’un établissement. Il change en cas de transfert, de fermeture ou de changement d’activité de l’établissement. Il figure également sur les documents officiels de l’établissement.

 

Qu’est-ce que le code APE ?

Le code APE (Activité Principale Exercée) est un code à 5 caractères (4 chiffres et une lettre) qui indique l’activité principale de l’entreprise ou de l’établissement. Il est attribué par l’INSEE selon la nomenclature des activités françaises (NAF), qui classe les activités économiques en 732 postes. Le code APE permet de connaître le secteur d’activité de l’entreprise ou de l’établissement, ainsi que les obligations légales, fiscales ou sociales qui lui sont applicables. Il figure sur l’extrait Kbis de l’entreprise ou de l’établissement, qui est le document officiel attestant de son existence juridique.

 

Comment obtenir ces identifiants ?

Pour obtenir ces identifiants, il faut immatriculer son entreprise ou son établissement auprès du centre de formalités des entreprises (CFE) compétent, qui varie selon la forme juridique, le secteur d’activité ou le lieu d’implantation de l’entreprise. Le CFE se charge ensuite de transmettre le dossier à l’INSEE, qui attribue le SIREN, le SIRET et le code APE. Ces identifiants sont ensuite communiqués au créateur ou au repreneur d’entreprise par courrier ou par mail. Il est possible de vérifier ou de modifier ces identifiants en contactant l’INSEE ou en se rendant sur le site sirene.fr.

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Designer UI UX : qu’est-ce que le lean UX ?

Ziggourat forme depuis longtemps des concepteur designer UI UX avec diplôme d’état niveau 6, or cette discipline est toujours en mouvement. Nous évoquons aujourd’hui de Lean UX. Dans le guide développé par Kaliop  le concept de Lean UX,  est expliqué, son cycle de production et sa mise en place sur des projets digitaux. Découvrez comment le lean UX rend les produits comme un site ou une application vraiment efficaces.

nouvelle formation, nouveau diplôme

Aujourd’hui, le développement de projets digitaux est au cœur d’une controverse. En effet, il est de plus en plus commun qu’une entreprise demande une refonte complète de l’existant. Un signal fort qui montre que le projet initial a été mal calibré et implique de repartir à zéro.

En cause, les méthodes classiques de conception et de développement des projets digitaux. Pour faire face aux faiblesses de ces dernières, le Lean UX prend une ampleur de plus en plus importante.

 

À travers un livre blanc gratuit, Kaliop, société spécialiste de la transformation numérique et de l’innovation qui s’occupe notamment de la conception, du développement ou encore de la performance de l’écosytème digital des entreprises et administrations, présente le concept du Lean UX, ses avantages et sa mise en place.

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Formation développeur web web mobile, totalement financée!

Le web mobile est un sujet qui domine les métiers du digital. Cette formation Développeur web mobile vous permettra d’acquérir les compétences nécessaires au développement d’applications mobiles compatibles avec les principales plateformes mobiles du marché (iOS, Android). Seule une bonne formation permettra de maîtriser ces technologies

Concevoir, par codage informatique, une solution digitale web en définissant en amont toutes ses caractéristiques fonctionnelles et visuelles, dans le cadre d’une démarche de gestion de projet.

Les ventes de Smartphones et de Tablettes tactiles ne cessent de progresser et la nécessité de concevoir des sites web responsive et des applications mobiles, devient incontournable. Une niche d’emplois se présente : « Le marché du mobile et des tablettes a créé 800 000 emplois en Europe, […] en majorité des développeurs. » 

Ziggourat souhaite donner la possibilité à ses étudiants et stagiaires de la formation continue d’acquérir des compétences en développement mobile pour saisir des opportunités professionnelles dans ce secteur en pleine effervescence. Le web mobile est un sujet qui domine dans la sphère du digital. Ce module permet de créer une web application.

Cette formation à temps plein est destinée aux professionnels en poste ou en reconversion, mais aussi aux demandeurs d’emploi qui souhaiteraient acquérir de nouvelles compétences dans cette spécialité.

Notre pédagogie œuvre pour favoriser votre professionnalisation. Elle combine des enseignements théoriques et des cas pratiques, ainsi que des accompagnements spécifiques. Elle peut se faire en présentielle mais aussi 100% en distancielle. 

Ziggourat est à votre écoute, renseignez-vous au moins.

 

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Reconversion : Bien choisir sa formation

Qui dit reconversion professionnelle dit en général formation. Du choix de celle-ci dépendra en grande partie la réussite de votre projet. 

Mais quand on sait que la France ne compte pas moins de 60000 organismes de formation, comment s’y retrouver dans ce dédale d’offres en tout genre et surtout, s’assurer de choisir la bonne ? 

Ziggourat propose quelques astuces qui devraient vous y aider.

Envie de changer de métier, de secteur, de créer votre boîte, de gagner en responsabilité, de vous former… Bref, envie de donner un nouvel élan à votre vie professionnelle. Voici un projet d’envergure. En effet, une reconversion professionnelle est une décision qui nécessite réflexion et engagement. Avant de vous lancer à corps perdu dans la recherche d’une formation et de vous inscrire, il faudra vous pencher sérieusement sur votre projet. 

Définir son projet professionnel permet d’aborder plus sereinement les étapes nécessaires à sa construction et de mieux aborder les obstacles qui pourraient se présenter.

Avez-vous toutes les compétences requises pour exercer le nouveau métier convoité ? Devez-vous obtenir un diplôme, une certification ou suivre une formation pour développer de nouvelles compétences ? Pensez-vous créer votre propre entreprise ? 

Il est important dans vos critères de choix que le programme de formation soit réellement en adéquation avec vos besoins et les réalités métier. Opter pour des formations opérationnelles généralement plus courtes qui débouchent sur un certificat ou un titre professionnel semble donc être une excellente idée en cas de reconversion. Choisir de se lancer dans une formation certes aux contenus intéressants mais trop intellectuels et n’offrant pas de débouchés professionnels ne servira à rien.

Quels sont les secteurs, les métiers ou encore les régions qui recrutent ? Quelles sont les compétences convoitées par les recruteurs ? Autant de questions qui doivent vous guider dans votre choix. L’objectif de votre formation est bien de vous réorienter rapidement vers l’emploi souhaité et non de se trouver dans une voie sans issue où il faudra repartir à 0. La meilleure façon de s’en faire une idée est de consulter les statistiques d’insertion professionnelle de la formation ou de s’entretenir avec des anciens stagiaires qui ont suivi votre parcours.

Intéressez-vous aussi au taux de retour à l’emploi pour ceux qui ont suivi cette formation car c’est un vrai gage de qualité. 

Par exemple voici 4 formations dans des métiers qui recrute

 

La concurrence est rude sur la marché du travail et les recruteurs recherchent des candidats bien formés. Pour se démarquer, il convient de pouvoir convaincre rapidement les recruteurs potentiels. Avant de vous inscrire, assurez-vous que la formation délivre une certification ou un diplôme afin de sécuriser votre parcours professionnel et de rassurer les employeurs. Est-il reconnu par l’Etat et/ou les entreprises ? Est-ce une certification RNCP, un titre professionnel ou un diplôme universitaire ? En comparant les diplômes proposés par différents types de formations, vous disposez également de bons éléments de décision.

 

Choisir un bon centre de formation expert compétences

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Comment devenir développeur web web mobile?

Avez-vous remarqué qu’aujoud’hui, le Web est devenu incontournable. Sites web, applications mobiles, logiciels… autant d’outils qui sont indispensables à l’activité économique en générale, indispensable à la vie des citoyens, partout installés dans notre vie quotidienne. Le métier à l’origine de ce changement sociétal est le métier dedéveloppeur web et web mobile qu’il faut apprendre dès maintenant, si l’on est jeune en recherche d’une carrière ou si l’on est dans le projet d’une reconversion. Le développeur web ou la développeuse web, le concepteur développeur d’applications sont les vecteurs du développement fulgurant du web, ils sont est très recherché et ne restent pas longtemps sans travail. 

Que fait le développeur web web mobile?

Le développeur web, la développeuse web ou le Concepteur Développeur d’applications conçoivent les  sites web, les applications mobile ou des logicielles voir même se spécialisent dans le jeux vidéos afin de répondre aux demandes de développement des entreprises ou des clients qui veulent toujours plus de facilités (achat, vente, recherche d’information, téléchargement de ressources…). Avant de programmer, ils analysent les demandent et conçoivent l’architecture, l’organisation du  code et font les choix des technologies web propres aux spécificités de chaque entreprise pour lesquelles ils travaillent. Leur but est de satisfaire les besoins des utilisateurs et du client. Ils rédigent  un cahier des charges qui précise les détails nécessaires au développement et à l’écriture du code qui sont pour le web : le Html/CSS, le php, le javascript ou C# et encore Java pour les sites les plus sophistiqués.

Après la production et la mise en ligne du site web et/ou de l’application mobile, le développeur web ou la développeuse web doit faire évoluer ses réalisations en fonction des dernières technologies ou des nouveautés qui émergent de partout dans la société digitale.  Ils  sont  responsables des mises à jour tant logiciels qu’applicatives et du bon fonctionnement des sites web. Dès que des erreurs remontent, ils doivent en chercher les causes et les résoudre au plus vite pour qu’il n’y ait pas de conséquences pour les clients et le business. Depuis la diffusion rapide des mobile, ils doivent s’assurer que le sites soient responsive : c’est à dire optimisé pour tous les navigateurs web et terminaux (tablette, mobile,…). Pour exercer ce métier, il faut bien entendu être formé.

 

Les diplômes et les formations pour devenir développeur web

En formation continue ou en reconversion l’une des formations la plus réputée est  Développeur web web mobile de chez Ziggourat. Niveau 5 bac+2 en 800h théoriques et 210h pratiques, cette formation conduit directement à l’emploi tant les besoins des entreprises sont importants. Consultez et téléchargez le programmes et le plan de cours.

D’autres formations permettent de rejoindre les métiers du web ou du développement informatique

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