Le financement du système de formation issu de la réforme en péril

La dépense liée au CPF et à l’apprentissage continue à augmenter, et le système ne prévoit pas de financement de la formation à la hauteur.

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Le financement du système de formation issu de la réforme est-il en péril ?

 

Oui et non ! 

Bientôt 4 ans après la dernière réforme, le système français de formation va-t-il déposer le bilan ? Avec 2,9 Md€ de déficit, France Compétences paie au prix fort le succès du CPF et de l’alternance. Nous posions déjà la question il y a presque deux ans. Entre-temps, la situation s’est aggravée. Un rapport de la cour des Comptes du 23 juin tire la sonnette d’alarme sur l’apprentissage. Le rapport annuel de France Compétences, sorti lundi 4 juillet, aborde discrètement le sujet.

Est-ce que le robinet est grand ouvert ? On le sait bien, si tous les salariés demandent leur CPF dans l’année, il faudrait plus de 100Md€ et encore tout n’est pas compté.

Aucun calcul ne semble avoir été effectué initialement pour évaluer le ratio de recours au CPF, et aucun mécanisme n’a été mis en place pour réguler la dépense et l’ajuster aux ressources. L’idée du législateur semble avoir été de développer le CPF tous azimuts, en se disant que si cela fonctionnait bien on aviserait

 

Et l’apprentissage là-dedans ?

La réforme à liébéraliser les accès à ce dispositif. Bravo, les entrées en apprentissage ont augmenté de 15% en 2019 et on doublée entre 2019 et 2021. Le système est donc en déficit structurellement.

 

Quels sont les pistes et les solutions ?

1) Réduire les coûts de l’apprentissage

2) Réguler le CPF

3) Trouver des ressources

 

Le financement du système de formation issu de la réforme est-il en péril ?

 

Va-t-on aller vers une sorte de Sécurité sociale de la compétence, financée par l’État ? Ou l’opération n’aura-t-elle été qu’une façon de donner le goût de la formation et de l’alternance aux salariés et aux entreprises, en espérant qu’ils prennent le relais financièrement ? C’est l’une des questions politiques importantes de ce début de quinquennat, même si elle ne fait pas les gros titres des journaux.

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Formation Administrateur Systèmes DEVOPS : Comment devenir Devops ? 

Formation Administrateur Systèmes DEVOPS : Comment devenir Devops ?  La formation est ouverte à tous, en reconversion comme initiale

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Qu’est-ce qu’un DEVOPS ?

Un ingénieur DevOps introduit des processus, des outils et des méthodes pour équilibrer les besoins tout au long du cycle de développement de logiciels, du codage et du déploiement, jusqu’à la maintenance et à la mise à jour.

Quel formation pour devenir DevOps ?
Pour devenir DevOps, mieux vaut disposer d’un diplôme Bac+2 (TSSR ou AIS bac+3) délivré par une école informatique comme Cefiac, ou encore une université. En général, les DevOps possèdent une double compétence de développeur web et d’administrateur système, ainsi qu’une solide expérience professionnelle.8
Quelles sont les compétences d’un DevOps ?

Compétences du DevOps :
  • Bonne connaissance fonctionnement OS sous Unix (Linux, MacOS).
  • Maitrise de AWS, GCP, ou Azure.
  • Shell scripting (Bash, ZSH…)
  • Maitrise d’un langage de programmation back-end (Java, Python, C++…)
  • Expériences sur les différents outils de versionning (GitLab, GitHub)

Voyez les demandes d’emplois

La formation administrateur systèmes Devops est disponible chez Cefiac vous pouvez télécharger le programme

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Les aides à l’alternance jouent les prolongations

Le gouvernement a prolongé les aides exceptionnelles à l’alternance jusque fin 2023. Le point sur les chiffres et les dispositifs.

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Les aides à l’alternance jouent les prolongations

Les moyens de financement d’une formation sont importants. La France est un merveilleux pays qui permet à tout un chacun de se former tout au long de la vie. Mais l’autre face du progrès c’est que les dispositifs sont tellement nombreux qu’il n’est pas facile de s’y retrouver et il faut chercher la bonne solution pour chaque cas. Nous avons déjà traité la question des salariés mais il y a bien d’autres cas. Prenons l’alternance et la relation avec les Opco… Voilà un bon sujet que nous vous proposons d’évoquer dans cet article.

L’alternance est un dispositif de formation qui permet aux jeunes de se former à un métier tout en travaillant en entreprise. Il existe deux types de contrats en alternance : le contrat d’apprentissage et le contrat de professionnalisation. Ces contrats offrent de nombreux avantages aux jeunes, tels que :

– Une rémunération adaptée à leur âge et à leur niveau de qualification
– Une expérience professionnelle valorisante et reconnue
– Un accompagnement personnalisé par un maître d’apprentissage ou un tuteur
– Un accès facilité à l’emploi à l’issue de la formation

Pour encourager les entreprises à recruter des alternants, le gouvernement a mis en place des aides financières exceptionnelles, dans le cadre du plan de relance de l’économie face à la crise sanitaire. Ces aides sont destinées à couvrir une partie du coût du salaire et de la formation des alternants. Elles sont de :

– 5 000 euros maximum pour un apprenti de moins de 18 ans
– 8 000 euros maximum pour un apprenti majeur ou un salarié en contrat de professionnalisation

Ces aides sont versées pour la première année de chaque contrat d’alternance conclu entre le 1er juillet 2021 et le 31 décembre 2022, jusqu’au niveau master et pour toutes les entreprises.

Face au succès de ce dispositif, qui a permis de signer plus de 800 000 contrats en 2022, le gouvernement a décidé de le prolonger pour l’année 2023. Ainsi, les entreprises qui recruteront des alternants entre le 1er janvier et le 31 décembre 2023 bénéficieront d’une aide de 6 000 euros, quel que soit l’âge ou le niveau de qualification de l’alternant.

Mais ce n’est pas tout ! Le président de la République, Emmanuel Macron, a annoncé que cette aide de 6 000 euros serait maintenue au-delà de l’année 2023, jusqu’à la fin du quinquennat. L’objectif est d’atteindre le chiffre d’un million d’apprentis par an en 2027.

Cette mesure vise à soutenir un dispositif de formation qui fait ses preuves pour l’emploi des jeunes, mais aussi pour la compétitivité et la performance des entreprises. En effet, l’alternance permet de :

– Former des salariés qualifiés et opérationnels, adaptés aux besoins du marché et aux spécificités de l’entreprise
– Fidéliser et motiver les collaborateurs, en leur offrant des perspectives d’évolution et de reconnaissance
– Anticiper et accompagner les changements technologiques, organisationnels ou réglementaires
– Bénéficier d’exonérations de charges sociales et de crédits d’impôt

Si vous êtes intéressé par l’alternance, que vous soyez jeune ou employeur, n’hésitez pas à vous renseigner sur les conditions d’éligibilité, les modalités de versement et les démarches à effectuer pour bénéficier des aides à l’alternance. Vous pouvez consulter le site du ministère du Travail, le guide pratique à destination des employeurs et des organismes ou le site du service public pour obtenir plus d’informations.

 

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Aide individuelle régionale vers l’emploi AIRE 2

Aide individuelle régionale vers l’emploi AIRE 2

 La Région finance, à travers le dispositif AIRE et en complément de l’offre collective, des formations facilitant le retour, l’accès ou le maintien en emploi sur des secteurs en tension de recrutement en Île-de

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Les démarches AIRE2, tout le monde connait ?

 

L’aide individuelle régionale vers l’emploi (AIRE 2) est un dispositif de la région Île-de-France qui vise à faciliter l’accès, le retour à l’emploi ou la hausse du niveau de qualification, sur des secteurs en tension de recrutement ou sur des métiers émergents. Lancé en 2018, ce dispositif de financement de la formation professionnelle a été amélioré en 2020 et a encore évolué au 1er octobre 2022. L’AIRE 2 est destinée à compléter l’offre régionale de formations et à financer des formations professionnelles facilitant le retour, le maintien ou l’accès à l’emploi en Île-de-France.

Pour bénéficier de l’aide régionale, chaque demandeur doit prendre contact avec l’organisme de formation choisi, en charge de l’inscription, de la saisie et du suivi du dossier. Un délai de 6 semaines minimum entre la transmission du dossier complet et la date d’entrée en formation est demandé. Les formations éligibles au CPF sont celles qui conduisent à l’acquisition de tout ou partie d’une certification ou d’un diplôme. Les bénéficiaires de l’AIRE 2 sont majoritairement des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi et qui veulent suivre une formation que la Région ne finance pas déjà.

Depuis octobre 2022, l’AIRE peut être obtenue pour toute formation inscrite au Répertoire national des certifications professionnelles (RNCP) ou au Répertoire spécifique (RS), associée à un code « Certif info ». Les créateurs ou repreneurs d’entreprise inscrits à Pôle emploi et bénéficiaires de l’Aide à la reprise ou à la création d’entreprise (ARCE) peuvent, eux aussi, bénéficier de l’AIRE.

En somme, l’Aide individuelle régionale vers l’emploi (AIRE 2) est un dispositif de la région Île-de-France qui vise à faciliter l’accès, le retour à l’emploi ou la hausse du niveau de qualification, sur des secteurs en tension de recrutement ou sur des métiers émergents. Les bénéficiaires de l’AIRE 2 sont majoritairement des demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi et qui veulent suivre une formation que la Région ne finance pas déjà. Les formations éligibles au CPF sont celles qui conduisent à l’acquisition de tout ou partie d’une certification ou d’un diplôme. Pour bénéficier de l’aide régionale, chaque demandeur doit prendre contact avec l’organisme de formation choisi, en charge de l’inscription, de la saisie et du suivi du dossier. Un délai de 6 semaines minimum entre la transmission du dossier complet et la date d’entrée en formation est demandé.

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Formation Technicien Supérieur Systèmes et Réseaux – TSSR – CEFIAC

Formation technicien Supérieur Systèmes et Réseaux : TSSR Titre RNCP niveau 5 ( équivalent bac +2) éligible CPF et Transition PRO

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Cette formation qui existe depuis les années 2010 est toujours en cours aujourd’hui avec un rythme d’une ouverture de session par mois. La formation conventionnée est donc gratuite. Elle débouche sur un bac+2 en technique des réseaux et cybersécurité. Très demandée, elle dure près de 800h de cours et 210h en entreprise. Elle est actuellement en présentiel mais existe aussi en alternance car Cefiac fait partie d’un vaste réseau d’entreprise en demande de technicien surtout en cyberdéfence. Situé non loin du pôle cybersécurité de la Défense, beaucoup de stagiaires font leur partie pratique dans les entreprises du pôle national.

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Organisme de formation : contrôlez les diplômes des intervenants

Les organismes de formation doivent justifier des titres et qualités des personnels d’enseignement et d’encadrement qui interviennent à quelque titre que ce soit dans les prestations de formation qu’ils réalisent, et de la relation entre ces titres et qualités et les prestations réalisées dans le champ de la formation professionnelle (article L6352-1 du Code du travail). Organisme de formation : contrôlez les diplômes des intervenants

Le non-respect de cette obligation peut conduire, après contrôle, à l’annulation de la déclaration d’activité (article L6351-4 du Code du travail), voir à une sanction pénale (amende de 4 500 euros – article L6355-6 du Code du travail). Par ailleurs, si l’organisme de formation ne présente pas « tous documents et pièces établissant (…) les moyens mis en œuvre » – au titre desquels figurent les moyens pédagogiques – pour réaliser les actions de formation, celles-ci sont réputées ne pas avoir été exécutées et donnent lieu à remboursement au cocontractant des sommes indûment perçues (article L 6362-6 du code du travail).

Les enjeux sont donc de taille pour le prestataire de formation. Un arrêt de la Cour administrative d’appel (CAA) de Marseille en date du 18 février 2022, est une illustration de l’application de cette règle et de sa portée.

 

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Les organismes de formation sont tenus de justifier les titres et les qualifications des personnels d’enseignement et d’encadrement qui interviennent dans les prestations de formation qu’ils réalisent, et de la relation entre ces titres et qualifications et les prestations réalisées dans le champ de la formation professionnelle ³. Cette obligation est prévue par l’article L6353-1 du Code du travail. Les organismes de formation doivent donc s’assurer que les intervenants qu’ils emploient disposent des diplômes et des qualifications nécessaires pour dispenser les formations qu’ils proposent ³.

Le contrôle des diplômes des intervenants est une question qui suscite de plus en plus d’intérêt dans le domaine de la formation professionnelle. En effet, les organismes de formation sont de plus en plus nombreux à proposer des formations dans des domaines très variés, et il est important de s’assurer que les intervenants disposent des compétences nécessaires pour dispenser ces formations. Les diplômes et les qualifications des intervenants sont donc un critère important pour les organismes de formation, qui doivent s’assurer que les formations qu’ils proposent sont dispensées par des professionnels qualifiés ¹.

Le contrôle des diplômes des intervenants peut être effectué de différentes manières. Les organismes de formation peuvent par exemple demander aux intervenants de leur fournir une copie de leur diplôme ou de leur qualification, ou bien vérifier directement auprès des établissements d’enseignement ou des organismes certificateurs que les diplômes et les qualifications des intervenants sont bien valides ². Les organismes de formation peuvent également faire appel à des prestataires spécialisés dans la vérification des diplômes et des qualifications des intervenants ².

Le contrôle des diplômes des intervenants est un enjeu important pour les organismes de formation, qui doivent s’assurer que les formations qu’ils proposent sont dispensées par des professionnels qualifiés. Les diplômes et les qualifications des intervenants sont donc un critère important pour les organismes de formation, qui doivent s’assurer que les formations qu’ils proposent sont dispensées par des professionnels qualifiés. Les organismes de formation peuvent effectuer ce contrôle de différentes manières, en demandant aux intervenants de leur fournir une copie de leur diplôme ou de leur qualification, en vérifiant directement auprès des établissements d’enseignement ou des organismes certificateurs que les diplômes et les qualifications des intervenants sont bien valides, ou en faisant appel à des prestataires spécialisés dans la vérification des diplômes et des qualifications des intervenants.

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Formation professionnelle : quand les salariés retournent à l’école

Formation professionnelle : quand les salariés retournent à l’école

 

Formation professionnelle : quand les salariés retournent à l’école

En 1987, la durée de vie d’une compétence technique était de 30 ans. Selon l’OCDE, elle ne dépasse aujourd’hui pas cinq ans. Cette accélération de l’obsolescence des savoir-faire est l’un des symptômes d’une transformation radicale du monde du travail qui s’est intensifiée suite à la crise du Covid-19. Tous les secteurs sont concernés par cette grande mutation — en partie provoquée par la révolution digitale, qui met de nombreux métiers sous-tension.

« La formation continue représente un moyen de répondre à ces enjeux », juge Guillaume Letzgus, Directeur du Développement Solutions Entreprises à l’Afpa (Agence nationale pour la formation professionnelle des adultes). « Celle-ci permet non seulement aux salariés de monter en compétences sur leur poste mais aussi de renforcer leur employabilité et leur mobilité. Pour cela, plusieurs nouveaux dispositifs offrent un accompagnement adapté. C’est le cas par exemple de l’Action de Formation en Situation de Travail (AFEST) ou du Pro-A, programme de reconversion ou promotion par alternance au sein de l’entreprise. » Ces dispositifs — qui s’ajoutent à d’autres, comme la VAE (Valorisation des Acquis de l’Expérience) — sont tout particulièrement destinés aux salariés les moins qualifiés, qui ne disposent pas toujours du temps nécessaire pour se former, dans la mesure où leur présence a un impact direct sur les capacités de production de l’entreprise.

Chez Amazon, la formation commence dès le 1er jour dans l’entreprise

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Décrocher un emploi sans envoyer de CV

Décrocher un emploi sans envoyer de CV

C’était une bonne idée, mais il semble qu’elle n’ait pas fonctionné. La plate-forme est reprise par « maintenant j’aime le lundi » (sic)

 

 

 

 

Sur la nouvelle plateforme “Parfait pour ce job”, ce ne sont plus les demandeurs d’emploi qui postulent aux offres des entreprises, mais les employeurs qui viennent démarcher les candidats. L’objectif : permettre aux établissements rencontrant des difficultés de recrutement d’accueillir de nouveaux talents et faire découvrir des métiers peu connus aux personnes en recherche d’emploi.

Cette plateforme permet de décrocher un emploi sans envoyer de CV

Proposer aux demandeurs d’emploi de ne viser ni métier, ni secteur d’activité et d’obtenir un poste pour lequel ils n’ont aucune expérience ou compétence : à première vue, l’idée semble saugrenue. C’est pourtant le pari qu’ont fait les deux créateurs de contenu de la chaîne Youtube “Maintenant j’aime le lundi”, Camille Bertheau et Miguel Muñoz, en lançant la plateforme “Parfait pour ce job” le 5 février dernier. Le principe ? “C’est une plateforme d’emploi inversée”, explique la co-fondatrice, Camille Bertheau. Sur ce site Internet, les usagers ne trouveront pas d’annonces d’emploi ou de moteur de recherche. Les personnes en recherche d’emploi pourront seulement y créer un profil et ce sont les recruteurs qui contacteront directement les sélectionnés parmi la base des demandeurs enregistrés. L’inscription est gratuite, aussi bien pour les demandeurs d’emploi que pour les employeurs.

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La plateforme de recherche d’emploi a fait le choix de bannir les CV. L’explication de la démarche réside dans le fait que les métiers ciblés par la plateforme ne demandent pas de qualification particulière ou offrent la possibilité de se former à l’intérieur de l’entreprise. Lorsqu’ils s’inscrivent, les demandeurs d’emploi ont à renseigner leurs informations personnelles, la nature du contrat recherché (CDI, CDD…), le salaire qu’ils aimeraient toucher et surtout ce qui leur plaît dans la vie. Ils pourront cocher parmi de nombreuses propositions concernant leurs passions, telles que “prendre soin des gens”, « l’adrénaline » ou encore “l’art”, mais aussi ce qui est important pour eux dans leur vie professionnelle, comme la liberté, le challenge, l’argent…

 

 

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Parcoursup : le monopole se crash

Le crash de Parcoursup, qui est celui d’un système monopolisé et étatisé, est celui de l’ensemble de l’enseignement et de l’école française.

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Nous l’évoquions dès novembre, au moment où la réforme Parcoursup a été annoncée, le risque de crash était majeur. Il fut moins important que ce que beaucoup craignaient, mais bien là. Dès 18 heures, au moment de l’ouverture de la plateforme, les lycéens se sont rués pour voir leurs résultats, provoquant un bug du site puis le bug des sites de débordement. La normale est revenue dans la soirée.

Seule la moitié des lycéens a eu des réponses positives, contre plus des trois quarts avec l’ancien système, APB. Les places se libèrent au fur et à mesure que les lycéens renoncent à leurs vœux en attente, permettant à d’autres d’obtenir des places. Un jeu de chaises musicales qui est remis à jour chaque matin. Les lycéens doivent donc attendre chaque jour leurs nouvelles propositions. L’engorgement du système, l’opacité des choix, l’attente sans résultat pour beaucoup sont les conséquences d’un système à bout de souffle : celui du monopole de l’école.

La grogne monte contre Parcoursup…

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Depuis son lancement en 2018, Parcoursup a été le sujet de nombreuses controverses et débats. Conçu pour réformer l’accès à l’enseignement supérieur en France, le système a été critiqué pour son manque de transparence et son opacité. Cependant, une nouvelle tendance semble émerger, remettant en question le monopole de Parcoursup et ouvrant la voie à une concurrence accrue.

Une révolution discrète mais palpable

Alors que Parcoursup a longtemps été le seul acteur majeur dans le domaine de la gestion des admissions à l’université en France, de nouveaux acteurs font leur entrée sur le marché. Des plateformes alternatives voient le jour, promettant une approche plus transparente, rapide et équitable pour les étudiants cherchant à poursuivre leurs études supérieures.

Transparence et flexibilité en tête

L’une des principales critiques à l’égard de Parcoursup a été son manque de transparence dans le processus d’admission. Les étudiants se sont souvent retrouvés dans l’obscurité quant aux critères exacts qui ont conduit à leur acceptation ou à leur refus. Les nouvelles plateformes rivalisent en mettant en avant une transparence totale, expliquant clairement les critères de sélection et offrant aux étudiants une vision claire de leur position.

En outre, la flexibilité devient un maître-mot. Les nouvelles plateformes permettent aux étudiants de postuler à plusieurs programmes simultanément, simplifiant ainsi le processus et augmentant leurs chances d’obtenir une place dans l’établissement de leur choix.

La fin du monopole de Parcoursup ?

Cette émergence de nouvelles alternatives remet en question le monopole de Parcoursup et incite à une réflexion approfondie sur la nécessité d’une plus grande diversité dans la gestion des admissions universitaires. Les étudiants, autrefois obligés de s’en remettre uniquement à Parcoursup, ont désormais le choix entre plusieurs plateformes, chacune offrant des avantages distincts.

Cette concurrence accrue pourrait également inciter Parcoursup à revoir ses méthodes et à s’adapter aux attentes changeantes des étudiants et des établissements. La compétition pourrait être le moteur d’une amélioration constante du système, bénéficiant finalement aux parties prenantes essentielles : les étudiants et les universités.

Cependant, des défis subsistent

Bien que la concurrence puisse être un moteur de progrès, elle pose également des défis importants. La fragmentation du processus d’admission peut rendre la coordination entre les différentes plateformes complexe, créant des obstacles potentiels pour les étudiants et les établissements.

En outre, la crédibilité des nouvelles plateformes doit être solidement établie pour gagner la confiance des étudiants et des universités. La réputation bien établie de Parcoursup peut représenter un obstacle majeur à surmonter pour ces nouveaux arrivants.

Conclusion : un paysage en mutation

Le monopole de Parcoursup semble être en train de se fissurer, ouvrant la voie à une ère de concurrence dans le domaine des admissions universitaires en France. Les étudiants bénéficient désormais d’un choix plus large, et les plateformes ont l’opportunité de repenser et d’améliorer leurs approches respectives.

Il reste à voir comment cette évolution façonne l’avenir de l’éducation supérieure en France, mais une chose est certaine : le paysage des admissions universitaires est en mutation, et le monopole de Parcoursup est confronté à une concurrence qui pourrait bien le faire crasher.

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