Innovation en Gestion des Compétences

En 2024, la gestion des compétences est plus que jamais au cœur des préoccupations des entreprises. Face à un marché du travail en constante évolution et à l’émergence rapide de nouvelles technologies, il est crucial pour les organisations de rester à la pointe de l’innovation en matière de développement des compétences. Cet article explore les tendances et stratégies clés qui façonnent l’innovation en gestion des compétences en cette nouvelle année.

Innovation en Gestion des Compétences : Tendances et Stratégies

I. L’Émergence de Nouvelles Technologies en Gestion des Compétences
L’intégration de technologies avancées comme l’intelligence artificielle (IA) et le Big Data révolutionne la manière dont les compétences sont gérées dans les entreprises. Des outils tels que les plateformes d’apprentissage en ligne basées sur l’IA permettent un diagnostic plus précis des besoins en compétences et facilitent le développement personnalisé des employés. Par exemple, des solutions comme [Nom d’une plateforme innovante] permettent aux entreprises de cartographier les compétences existantes et d’identifier les lacunes à combler.

II. Stratégies Modernes de Formation et de Développement
La formation et le développement des compétences en 2024 s’orientent vers des méthodes plus flexibles et personnalisées. L’apprentissage hybride, combinant des sessions en ligne et en présentiel, et le microlearning, qui propose des contenus de formation courts et ciblés, gagnent en popularité. Ces approches répondent à la demande d’apprentissage continu et adapté au rythme de chaque employé. Des entreprises avant-gardistes, comme [Nom d’une entreprise innovante], illustrent l’efficacité de ces méthodes.

III. L’Importance de la Flexibilité et de l’Agilité dans la Gestion des Talents
En 2024, la capacité d’une organisation à s’adapter rapidement aux changements du marché est un atout majeur. Cela implique une gestion des talents flexible et agile. Les compétences doivent être constamment évaluées et développées pour répondre aux besoins émergents. Les pratiques telles que les rotations de poste et les projets interdisciplinaires favorisent une meilleure adaptabilité des employés et une plus grande agilité organisationnelle.

IV. Défis et Opportunités pour les Ressources Humaines
Les professionnels des ressources humaines (RH) font face à de nouveaux défis dans ce paysage en mutation. Ils doivent non seulement identifier et développer les compétences nécessaires mais aussi anticiper les besoins futurs. Cependant, ces défis s’accompagnent d’opportunités considérables. L’innovation en gestion des compétences permet aux RH de jouer un rôle stratégique dans la croissance et la compétitivité de leur organisation. Pour cela, ils doivent adopter une approche proactive et être ouverts aux nouvelles technologies et méthodologies.

V. L’Importance Cruciale de la Formation Continuée
La formation continuée occupe une place centrale dans la gestion des compétences en 2024. Elle n’est plus perçue comme un simple complément, mais comme un pilier essentiel de l’évolution professionnelle. Avec l’évolution rapide des marchés et des technologies, la formation permanente assure que les employés restent compétitifs et alignés avec les objectifs stratégiques de l’entreprise. Les programmes de formation continue, comme ceux proposés par [Nom d’une institution de formation renommée], jouent un rôle crucial dans cette démarche, offrant des parcours adaptés aux besoins spécifiques des employés et de l’industrie.

VI. Nomination d’Outils Spécifiques
En ce qui concerne les outils innovants en gestion des compétences, des plateformes comme « LinkedIn Learning » et « Coursera for Business » offrent des formations diversifiées adaptées aux besoins professionnels. Pour le diagnostic des compétences, des outils comme « Pluralsight Skills » utilisent l’IA pour évaluer les niveaux de compétence et recommander des parcours d’apprentissage personnalisés. Dans le domaine de la gestion des talents, « Workday » et « SAP SuccessFactors » sont des exemples de solutions intégrées qui permettent de suivre et de développer les compétences au sein des organisations. Ces outils offrent une vision claire des compétences disponibles et des besoins en développement, permettant ainsi une gestion plus efficace et proactive des talents.

Conclusion
L’innovation en gestion des compétences est un domaine en pleine effervescence, offrant de nombreuses opportunités pour les entreprises souhaitant rester compétitives. En adoptant les technologies de pointe et les stratégies modernes de formation, les organisations peuvent non seulement répondre aux défis actuels mais aussi anticiper les tendances futures. Pour les professionnels des RH, 2024 est une année d’opportunités pour redéfinir leur rôle et contribuer activement à l’avenir de leur entreprise.

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Le développement des compétences

Développement des compétences

Le développement des compétences est essentiel pour une carrière réussie.

Il consiste à assimiler des savoir-faire et savoir-être utiles dans le cadre professionnel. Le développement des compétences peut se faire via différents biais, via la formation professionnelle, mais aussi les conférences, le coaching, les forums professionnels, les salons, les événements formels ou informels ainsi que dans toutes les situations propices aux échanges de bonnes pratiques.

Le développement des compétences représente d’importants enjeux pour l’ensemble des professionnels, mais aussi pour les personnes sans emploi qui souhaitent élargir leur champ d’opportunités. Il est également stratégique pour les entreprises et les organisations qui cherchent à tirer profit de leur savoir interne et à optimiser leur performance globale. En investissant dans le développement des compétences, en partie à travers son plan de formation, l’entreprise augmente son efficacité et la motivation de ses collaborateurs. Ainsi, en misant sur l’individu, le collectif est impacté positivement.

Le développement des compétences concerne l’ensemble des individus, et ce, quel que soit leur niveau de formation initiale et leur poste. Il peut viser à améliorer l’efficacité professionnelle, la maîtrise d’une langue, les compétences managériales, la maintenance des compétences techniques, l’obtention d’un diplôme ou d’un certificat pour accéder à un nouveau métier, l’élargissement de sa palette de compétences pour gagner en performance dans le cadre de ses missions quotidiennes, ou encore se préparer en vue d’un audit de certification à une norme de qualité.

Le développement des compétences est un processus continu qui permet aux professionnels de rester compétitifs sur le marché du travail et de s’adapter aux évolutions de leur secteur d’activité. Il est donc important de se former régulièrement pour acquérir de nouvelles compétences et rester à jour dans son domaine d’expertise.

Si vous souhaitez vous former, voici nos cursus , si vous souhaitez rester informer suivez le blog formation ou consultez les experts compétences.

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Joyeuses fêtes de Noël

 Voilà c’est la période des fêtes, L’équipe AMMC,  vous souhaite de merveilleuses fêtes de fin d’année ! Que cette période soit remplie de joie, de partage et de moments chaleureux en compagnie de vos proches.

✨ Nous vous remercions pour le succès et la reconnaissance que vous nous avez témoignés tout au long de cette année de transformation numérique. Nous sommes impatients de continuer à collaborer avec vous et à explorer de nouvelles opportunités en 2024.

🎉 Joyeux Noël!

Joyeux noël AMMC

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Titres professionnels : Etude d’efficacité

Comment les Titres Professionnels Transforment le Recrutement et la Performance des Entreprises

#Titre Professionnel #recrutement #performance des entreprises #stabilitéemploi #mobilitéprofessionnelle

Dans un marché du travail de plus en plus compétitif, les entreprises cherchent constamment à optimiser leurs processus de recrutement et à améliorer la performance de leur personnel. Les titres professionnels, reconnus par le ministère du travail, émergent comme une solution clé. Une étude approfondie révèle comment ces certifications influencent positivement le recrutement, la performance, et la mobilité professionnelle.

Titres professionnels : Etude d’efficacité

La Plus-value des Titres Professionnels pour les Entreprises 

Adaptabilité et Compétences Techniques

Plus de 87 % des entreprises ayant recruté un certifié au titre professionnel valident l’adaptation rapide de leur recrue au poste exercé. Ces certifiés démontrent non seulement une excellente maîtrise des techniques essentielles de leur métier (reconnue par 79% des entreprises) mais aussi des techniques avancées (plus de 50 %). Cette capacité d’adaptation est essentielle dans un contexte où plus de la moitié des entreprises font face à des difficultés de recrutement, souvent dues à une pénurie de compétences adéquates chez les candidats.
Potentiel de Réembauche et Evolution dans l’Entreprise

La confiance des entreprises dans la valeur des titres professionnels est soulignée par leur volonté à réembaucher des certifiés. Un impressionnant 93 % des entreprises interrogées seraient prêtes à recruter à nouveau un détenteur du même titre professionnel. Cela est particulièrement notable parmi les entreprises n’ayant jamais auparavant recruté de certifié, avec 90% d’entre elles prêtes à réitérer l’expérience. Cette tendance indique une reconnaissance croissante de la pertinence des titres professionnels pour répondre aux besoins spécifiques des entreprises.

Titres professionnels : Etude d’efficacité

 

Notoriété et Attractivité du Titre Professionnel

Critères de Recrutement et Préférence pour les Titres Professionnels

Les entreprises valorisent des profils alliant motivation, qualités relationnelles, autonomie, et présentation soignée. Le titre professionnel, en plus de garantir une solide maîtrise du métier, signale au recruteur une candidature alignée sur ces critères qualitatifs. Près de 40% des entreprises n’ont pas de préférence marquée entre un titre professionnel et d’autres certifications, bien que 31% affichent une préférence pour le titre professionnel, ce qui témoigne de son attractivité croissante.
Expérience Antérieure et Participation aux Jurys

La familiarité avec les titres professionnels s’accroît également à travers l’expérience directe. Plus de la moitié des entreprises ayant déjà recruté des certifiés avaient une expérience antérieure de ces titres. Environ un quart avaient même participé à des jurys de validation, ce qui a permis à ces entreprises de mieux comprendre la valeur et la rigueur du processus de certification. Cette expérience a également offert l’opportunité de repérer des candidats potentiels, enrichissant ainsi le bassin de recrutement des entreprises.

Devenir du Certifié Recruté

Stabilité d’Emploi et Mobilité Interne

Un aspect remarquable du recrutement des titulaires de titres professionnels est leur stabilité au sein de l’entreprise. 61% des certifiés sont encore en poste, et cette tendance est plus marquée chez les certifiés de niveau supérieur. De plus, 94% des certifiés n’ont pas changé de poste depuis leur embauche, ce qui indique une adéquation initiale réussie entre le certifié et son rôle au sein de l’entreprise.

Motifs de Départ et Impact sur la Mobilité Externe

Concernant les certifiés ayant quitté leur entreprise, plus de la moitié sont partis à la fin de leur contrat, tandis que les démissions représentent environ 30% des départs. Il est intéressant de noter que les démissions sont moins fréquentes chez les certifiés plus âgés. En outre, 90% des entreprises considèrent que le titre professionnel a favorisé la mobilité des certifiés après leur départ, en particulier pour les individus de plus de 45 ans et ceux dans le domaine de la mobilité et logistique. Cette donnée souligne l’impact positif du titre sur la progression de carrière des certifiés, même en dehors de leur entreprise initiale.

Titres professionnels : Etude d’efficacité

Conclusion

Les titres professionnels jouent un rôle crucial dans le recrutement et la performance des entreprises. Leur impact sur l’adaptabilité, la compétence technique, la stabilité d’emploi, et la mobilité professionnelle démontre leur valeur ajoutée significative tant pour les employés que pour les employeurs.

 

 

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De l’ingénieur pédagogique à l’expert compétences

Les formations continues hybrides ont connu un essor considérable depuis la pandémie de Covid-19. Dans ce contexte, la fonction d’ingénieur pédagogique a pris une place de plus en plus importante. Selon une étude d’Hesam, l’ingénieur pédagogique se développe vers la conception de formation, l’accompagnement ou encore la veille sur les outils, tandis que celle de formateur connaît « un appauvrissement, voire une fragilisation ». L’ingénieur pédagogique devient un expert en compétences

De l’ingénieur pédagogique à l’expert compétences

L’ingénieur pédagogique est un professionnel de la formation qui intervient dans la conception, la mise en œuvre et l’évaluation des dispositifs de formation. Il a pour mission de concevoir des dispositifs de formation adaptés aux besoins des apprenants et aux objectifs pédagogiques. Dans le contexte des formations continues hybrides, l’ingénieur pédagogique est amené à travailler sur des dispositifs de formation qui combinent des temps de formation en présentiel et à distance. Il est obligé de tenir compte des besoins en compétences des entreprises, il est nécessaire qu’il adapte le contenu des formations aux demandes des candidats à la formation. Il devient expert en compétences et se situe à la croisée des chemins entre les besoins des individus et la création de formation en concordance

L’étude d’Hesam met en évidence le développement de la fonction d’ingénieur pédagogique dans les formations continues hybrides. En effet, l’ingénieur pédagogique est de plus en plus sollicité pour concevoir des dispositifs de formation adaptés aux besoins des apprenants et aux objectifs pédagogiques. Il doit connaitre les compétences qui sont développés dans les formations et s’assuré qu’elles correspondent aux recherche des individus et aux besoins sociétaux économiques. Il devient un expert dans ces domaines. Il est également amené à accompagner les apprenants dans leur parcours de formation et à assurer une veille sur les outils pédagogiques. Cette évolution de la fonction d’ingénieur pédagogique vers l‘expert compétences s’explique notamment par la complexité des dispositifs de formation hybrides, qui nécessitent une expertise spécifique en matière de conception pédagogique et de technologies de l’information et de la communication.

En revanche, l’étude d’Hesam souligne que la fonction de formateur connaît « un appauvrissement, voire une fragilisation » dans les formations continues hybrides. En effet, le formateur est souvent cantonné à l’animation de dispositifs de formation conçus par d’autres, avec plus ou moins de marges d’adaptation, ou à de l’accompagnement ou du tutorat. Cette situation est fréquente dans les organisations d’inspiration taylorienne, où la séparation des fonctions est renforcée. L’importance donnée aux compétences depuis la réforme de 2018 renforce le rôle de l’ingénieur pédagogique qui se transforme alors, en expert compétences pour vérifier l’adéquation entre les compétences des individus et les formations proposées.

En somme, l’étude d’Hesam met en évidence le développement de la fonction d’ingénieur pédagogique dans les formations continues hybrides. L’ingénieur pédagogique qui s’apparente à un expert compétences est de plus en plus sollicité pour concevoir des dispositifs de formation adaptés aux besoins des apprenants et aux objectifs pédagogiques. En revanche, la fonction de formateur connaît « un appauvrissement, voire une fragilisation » dans les formations continues hybrides. Cette situation est fréquente dans les organisations d’inspiration taylorienne, où la séparation des fonctions est renforcée. Les formations continues hybrides sont un enjeu majeur pour les professionnels de la formation, qui doivent s’adapter à des dispositifs de plus en plus complexes et à des besoins de plus en plus spécifiques. C’est pourquoi le besoin en experts compétences se fait de plus en plus jour.

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CPF : Guide d’achat d’une formation

Que vous soyez un organisme de formation professionnelle continue qui vend une formation à un particulier, ou un particulier qui paie lui-même sa formation professionnelle continue, il y a des règles particulières à connaître.

 

Ces informations sont disponible sur le site de la Dreets

CPF : Guide d’achat d’une formation

En effet, le Code du travail prévoit une protection particulière pour la personne physique qui engage une formation, à titre individuel et à ses frais.

Avant la signature du contrat
Conformément à l’article L6353-8 du Code du travail (notamment son 2e alinéa), avant son inscription définitive et tout règlement de frais, c’est à dire avant la signature du contrat de formation professionnelle continue, doivent être remis au client les éléments suivants :

  • le programme et les objectifs de la formation,
  • la liste des formateurs avec la mention de leurs titres ou qualités,
  • les horaires,
  • les modalités d’évaluation de la formation,
  • les coordonnées de la personne chargée des relations avec les stagiaires par l’entité commanditaire de la formation
  • le règlement intérieur applicable à la formation
  • les tarifs et les modalités de règlement
  • les conditions financières prévues en cas de cessation anticipée de la formation ou d’abandon en cours de stage

La remise de ces documents peut être formalisée par un reçu signé par le client.

Le contrat de formation professionnelle continue
L’article L6353-3 prévoit que « Lorsqu’une personne physique [1] entreprend une formation, à titre individuel et à ses frais, un contrat est conclu entre elle et le dispensateur de formation. ».

Le contrat de formation ne doit pas être confondu avec la convention de formation professionnelle continue, destinée aux employeurs, aux travailleurs indépendants, aux financeurs…

Même si une convention de formation a été signée, un contrat de formation professionnelle doit également être établi dans l’hypothèse où le stagiaire prend en charge une partie du coût de la formation.

Conformément à l’article L6353-4, le contrat de formation doit comporter les clauses suivantes :

« 1° La nature, la durée, le programme et l’objet des actions de formation qu’il prévoit ainsi que les effectifs qu’elles concernent ;
2° Le niveau de connaissances préalables requis pour suivre la formation et obtenir les qualifications auxquelles elle prépare ;
3° Les conditions dans lesquelles la formation est donnée aux stagiaires, notamment les modalités de formation dans le cas des formations réalisées en tout ou en partie à distance, les moyens pédagogiques et techniques mis en oeuvre ainsi que les modalités de contrôle des connaissances et la nature de la sanction éventuelle de la formation ;
4° Les diplômes, titres ou références des personnes chargées de la formation prévue par le contrat ;
5° Les modalités de paiement ainsi que les conditions financières prévues en cas de cessation anticipée de la formation ou d’abandon en cours de stage. »

Important :
Ces clauses sont obligatoires. Leur absence peut entraîner la nullité du contrat, et pourrait remettre en cause les sommes versées.

Le stagiaire dispose d’un délai de dix jours [2] à compter de la signature du contrat pour se rétracter. Il doit en informer l’organisme de formation par lettre recommandée avec accusé de réception (voir modèle de courrier).

Les conditions financières
Aucun paiement (y compris frais d’inscription) ne peut être exigé au client avant l’expiration d’un délai de rétractation de dix jours à compter de la signature du contrat.

A l’issue de ce délai, la somme demandée au client ne peut pas dépasser 30% du coût total de la formation. Le calcul de ce plafond de 30% prend en compte les coûts pédagogiques, mais également les frais d’inscription, les achats de matériel, les coûts administratifs…

Le paiement du solde se fait au fur et à mesure du déroulement de l’action de formation (on ne peut exiger par exemple la remise de chèques pré- remplis, datés et signés…). Les modalités de règlement, notamment l’échéancier, doivent figurer dans le contrat de formation.

Si, par suite de force majeure dûment reconnue, le stagiaire est empêché de suivre la formation, il peut résilier le contrat. Dans ce cas, seules les prestations effectivement dispensées sont dues au prorata de leur valeur prévue au contrat.

Outre la situation de force majeure, le contrat doit stipuler clairement les conséquences financières en cas de cessation anticipée, notamment si le stagiaire décide d’interrompre la formation.

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Paris pour l’emploi un succès pour l’emploi

Paris pour l’emploi un succès pour l’emploi ?

 

Paris pour l’emploi un succès pour l’emploi, selon le ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, l’opération Paris pour l’emploi a pour objectif de mobiliser l’ensemble des acteurs du monde de l’emploi pour que les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 soient des jeux utiles pour l’emploi, en favorisant l’inclusion des personnes qui en sont éloignées, en développant l’emploi local et en renforçant l’attractivité des métiers impliqués dans la préparation de cet événement.

Paris pour l'emploi un succès pour l'emploi

Pôle emploi a mis à disposition depuis le 30 septembre 2021 une agence virtuelle spécialement dédiée aux Jeux de Paris 2024. Emploi 2024 propose à la fois des offres d’emploi (plus de 12 000 offres sont disponibles) et un espace pour les recruteurs. La plateforme est partagée avec l’ensemble des membres du service public de l’emploi (Missions locales/Cap emploi/Apec). Pôle emploi analyse et recense les besoins à pourvoir avec les donneurs d’ordre et branches concernés. Cette action passe par un renforcement de la collaboration avec les opérateurs de compétences (OPCO) des branches professionnelles pour anticiper leurs futurs besoins de recrutement et les formations à proposer aux demandeurs d’emploi. Dans ce cadre, la conception de parcours types de formation dédiés aux jeunes et moins jeunes demandeurs d’emploi constituera une action prioritaire pour faire des Jeux de 2024, une porte d’accès à l’emploi durable.

Le comité parisien estime que près de 250 000 nouveaux emplois seront créés à Paris grâce aux JO 2024

Les experts compétences arpentaient les allées du salon à la rencontre de leurs clients et pour nouer des contacts avec des OF volontaires, tournés vers l’avenir avec une certaine appréhension devant les réformes qui tombent défavorablement pour la formation. Suivez l’actualité sur le blog de la formation

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Halloween ! Il a bien fallu en passer par là !

Halloween

Bon ça y est c’était fait ! Ensuite la tempête et une pensée pour nos chers disparus. Et nous reprenons le travail

Heureusement que les celtes sont passés par là !

Halloween est une fête ancienne de plus de 2500 ans qui a plusieurs origines. La tradition la plus courante est qu’elle vient d’une fête celtique de Samhain. En Gaélique actuel, Samhain se traduit par le mois de Novembre et symbolise la fin de l’été. Il y a plus de 2500 ans, en Irlande, Grande-Bretagne et au nord-ouest de la Gaule, l’année celte s’achevait à la fin du mois d’octobre, une nuit de pleine lune. A cette occasion, une fête obligatoire était célébrée en l’honneur de la nouvelle année à venir. Cet évènement était donc déjà à l’époque célébré dans plusieurs pays. La fête de Samain dure 7 jours : trois jours avant et trois jours après la pleine lune et est obligatoire quelle que soit l’origine sociale sous peine de châtiment divin. Le festin se compose en abondance de viande de porcs, de bière, d’hydromel et de vin. Les peuples celtes pensaient que les esprits des morts revenaient sur Terre pour se réincarner dans un corps vivant. Pour les accueillir, ils allumaient des feux et se déguisaient en monstres pour les effrayer. Les lanternes végétales étaient également utilisées pour éloigner les mauvais esprits

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Titres professionnels VS Bts

Choisir un titre professionnel ou un Bts ?

AMMC bts

En France il existe un double système diplômant : Les BTS d’un côté , les Titres professionnels de l’autre.

 

En France, il existe deux types de formations diplômantes :

 

les BTS et les Titres professionnels. Les BTS (Brevet de Technicien Supérieur) sont des formations post-bac de deux ans dispensées dans des lycées ou des écoles spécialisées. Ils sont reconnus par l’État et permettent d’obtenir un diplôme de niveau bac+2. Les Titres professionnels, quant à eux, sont des certifications professionnelles délivrées par le Ministère du Travail et de l’Emploi. Ils sont enregistrés au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) et permettent de valider des compétences professionnelles acquises par la formation continue ou la validation des acquis de l’expérience (VAE) .

Les BTS ont une forte dominante culturelle et scientifique, technique ou artistique. Ils sont accessibles aux titulaires d’un baccalauréat ou d’un diplôme équivalent. Les titres professionnels, quant à eux, sont accessibles aux demandeurs d’emploi et aux salariés en reconversion professionnelle.

Les BTS sont reconnus par les entreprises et permettent une insertion professionnelle rapide. Cependant, ils ne permettent pas toujours une spécialisation très pointue dans un domaine précis. Les titres professionnels, quant à eux, sont plus adaptés pour acquérir des compétences spécifiques dans un domaine professionnel précis.

Titres professionnels VS Bts

En résumé, les BTS et les Titres professionnels sont deux types de formations diplômantes qui permettent d’acquérir des compétences professionnelles.

Les BTS sont plus généralistes et permettent une insertion rapide dans le monde professionnel tandis que les Titres professionnels sont plus spécialisés métiers et adaptés pour acquérir des compétences spécifiques dans un domaine professionnel précis.

Le choix entre un BTS et un titre professionnel dépend de plusieurs facteurs.

Tout d’abord, il est important de déterminer le métier que vous souhaitez exercer et les qualifications requises pour ce métier. Ensuite, vous pouvez vous interroger sur votre situation personnelle et professionnelle.

Si vous êtes plutôt scolaire et que vous souhaitez acquérir des compétences générales et professionnelles, le BTS peut être une option intéressante. Les BTS sont des formations post-bac de deux ans dispensées dans des lycées ou des écoles spécialisées. Ils sont reconnus par l’État et permettent d’obtenir un diplôme de niveau bac+2.

Si vous êtes demandeur d’emploi ou salarié en reconversion professionnelle, les titres professionnels peuvent être une option intéressante. Les titres professionnels sont des certifications professionnelles délivrées par le Ministère du Travail et de l’Emploi. Ils sont enregistrés au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) et permettent de valider des compétences professionnelles acquises par la formation continue ou la validation des acquis de l’expérience (VAE) . Les titres professionnels sont plus adaptés pour acquérir des compétences spécifiques dans un domaine professionnel précis .

Enfin, il est important de prendre en compte le contenu de la formation, la durée de la formation, le volume horaire associé à la formation et la durée du stage. Si vous avez encore des doutes sur le choix à faire, n’hésitez pas à consulter un conseiller d’orientation ou un professionnel du secteur concerné.

Les critères

Les critères pour suivre une formation qui conduit au BTS et à un Titre professionnel peuvent varier en fonction de la formation et de l’établissement. Cependant, voici quelques critères généraux :

Pour suivre une formation qui conduit au BTS :
– Être titulaire d’un baccalauréat ou d’un diplôme équivalent .
– Avoir réussi les épreuves de sélection de l’établissement.
– Avoir signé un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation si la formation est suivie en alternance .

Pour suivre une formation qui conduit à un Titre professionnel :
– Être demandeur d’emploi ou salarié en reconversion professionnelle  .
– Avoir réussi les épreuves de sélection de l’établissement .
– Avoir signé un contrat d’apprentissage ou de professionnalisation si la formation est suivie en alternance .

Il est important de noter que les critères peuvent varier en fonction des formations et des établissements. Il est donc recommandé de se renseigner auprès des établissements proposant les formations qui vous intéressent pour connaître les critères spécifiques.

AMMC accompagne les organismes formation pour monter des cursus qui conduisent aux Titres professionnels. Si vous souhaitez développer des formations longues et diplômantes faites appel à nos experts

Mais qu'est-ce qu'un Titre Professionnel ?

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